Selon les contestataires, issus des villages éloignés tels Ouled Ayed, Oued Sebt, Soualem, Bouaridha, N'Ayej, «se payer tous les jours un repas n'est pas à la portée de tout le monde, surtout que (leur) établissement dispose d'une cantine; mais celle-ci n'ouvre toujours pas ses portes». En outre, le manque de transport entrave sérieusement leur scolarité, et de ce fait ils trouvent moult difficultés à rejoindre leurs classes à temps, surtout en hiver. Ce qui a été la goutte ayant fait déborder le vase. En plus, faute de bibliothèque, les élèves recourent le plus souvent à Internet pour faire leurs exposés et autres devoirs. Cependant, cette démarche est interdite par les enseignants, qui exigent un travail de recherche sur des livres. Par ailleurs, l'absence de professeur d'allemand, pour les classes de terminale filière langue, ne fait qu'ajouter aux problèmes des frondeurs.                                                                        Â
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Posté Le : 25/11/2010
Posté par : sofiane
Ecrit par : B. A.
Source : www.elwatan.com