Dans une ruelle discrète d’Aflou, subsiste la dernière échoppe d’un marchand de tapis. L’air y embaume la laine brute et le café chaud, l’accueil y est simple et sincère. Le marchand, gardien d’un héritage séculaire, déploie fièrement ses tapis du Djebel Amour : rouges, noirs, blancs, tissés à la main par les femmes des steppes. Ici, chaque fil raconte une histoire, chaque motif une mémoire. C’est plus qu’une boutique — un refuge de tradition, où la chaleur humaine prolonge la vie du patrimoine.
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Posté par : patrimoinealgerie
Photographié par : Hichem BEKHTI
Source : Aflou, Mai 2021