Batna - Affiches et gravures

LE CALVAIRE DES CADRES DE L’AGRICULTURE A BATNA CONTINU…



LE CALVAIRE DES CADRES DE L’AGRICULTURE A BATNA CONTINU…
Nous, cadres de la direction des services agricoles de la wilaya de Batna (DSA), venons, par la présente, dénoncés les agissements injustes et barbares de notre directeur a notre égard.
Depuis son arrivé en 2005, il a instauré (lui et ces acolytes) un climat de terreur qui a éreinter le personnel technique de la DSA, personne n’a pu échapper a son mépris, même les agriculteurs qui essayent de le contacter au niveau de la direction pour pouvoir régler leurs problèmes, sont souvent, accueillis par des insultes et des mots blessant, les obligeant a rebroussés chemin sans que leurs doléances ne soient prises en comptes.
De même les jeunes entrepreneurs ambitieux, qui veulent soumissionnés pour décrocher un projet auprès de la DSA, n’échappent pas à la règle, ils sont également affectés par cette injustice. Souvent ils se voient éjecter hors du circuit bien qu’ils présentent toutes les conditions requises.
Des pièces de leurs dossiers sont manipulées en coulisses (bien sur avec la complicité de quelques entrepreneurs corrompus) et ce pour privilégier les offres mieux payantes ! Au profit des offres mieux disantes.

Oppression, persécution, marginalisation, exclusion,… tel est le vécu quotidien des cadres au niveau de cette direction.

On se demande, jusqu'à quand le simple fonctionnaire continuera à cautionner aveuglement toutes les fautes et les vicissitudes engendrées par la mauvaise gestion et la malversation de certains responsables qui n’ont qu’un seul souci: dilapider les biens de l’état et du contribuable et de délabrer les institutions de la république.

De tels agissements ne peuvent être ignorés par l’état, si en considère que ce dernier a fait l’objet de plusieurs plaintes de la part de plusieurs personnes et vue que se calvaire perdure depuis des années, on se demande aussi sur le mutisme du ministère de l’agriculture vis-à-vis a ce problème.
Egalement, nous sommes stupéfiés de voir que l’état continue à fermer les yeux sur de telles pratiques, quand on sait que ce responsable viens de s’accaparer des bureaux de l’inspection des vétérinaires pour les transformés en habitation personnelle et sur les frais de l’état en plus.
Bien que l’état a mis a sa disposition un logement de fonction luxuriant (petite villa) depuis son arrivé, il n’a pas trouvé de mieux pour obliger un bon nombre d’anciens cadres a partir en retraite et de déloger tous un service (inspection de vétérinaire) pour des fins personnelles non justifiées. Voyant lui-même sa personne partir bientôt en retraite, il compte s’installer définitivement dans ce logement qui en réalité constitue un bien de l’état.

Afin de restaurer son image de marque auprès de ces supérieurs et profitant de la défaillance du système de collecte des statistiques agricoles au niveau du ministère de l’agriculture et qui en réalité, est dépourvu de tous moyen d’investigation scientifique, ce responsable, se lance depuis quelques mois dans des déclarations mensongères se rapportant aux différentes productions agricoles avec des estimations « a la louche », en annonçant des chiffres de production surestimés et donc faux.

Sur le plan technique, la qualité de travail au niveau de la direction se détériore de plus en plus, ce la est intimement lié au fait que les cadres compétents (universitaires) sont constamment marginalisés et persécutés par ce dernier, sans oublié que la majorité des postes spécifiques (chefs de bureaux et chefs de subdivision) sont occupés soit par des techniciens (sup.) ou bien des ingénieurs d’application au lieu de les attribués a des d’ingénieurs d’état expérimentés.
Parallèlement à ça, cette situation est d’autant plus aggravée, si on sait qu’un bon nombre de cadres partiront bientôt en retraire vu que le service du personnel « incompétent » a omis de programmer leur succession au préalable.

Quant au déroulement du programme du PNDA (Programme national de développement agricole) au niveau de la wilaya, L’anarchie est totale, l’agriculteur, ne sais plus vers quel saint se vouer, il se sente constamment abandonné et mal encadré par les agents des services de l’agriculture, et en terme de réalisations sur terrain, le constat est affligeant, vue l’incompétence qui règne au niveau du personnel chargés de la mise en œuvre de ce programme ainsi que le manque de contrôle sur terrain (constamment argumenter par le manque de véhicule) qui normalement doit être appliqué régulièrement au différents projets subventionnés et qui malheureusement fait état d’un bilan décevant, on peu citer, a cet égard, des bassins d’irrigation qui ont été abandonnés, des kits d’irrigation localisés délaissés, sans apprendre au agriculteurs a s’en servir, des plantations d’arbres fruitiers réalisés dans des zones inadaptées et pour des agriculteurs n’ayant aucune pratique de l’arboriculture,…

De même les moyens de transports au niveau des subdivisions de l’agriculture, ont toujours fait défauts. La majorité des subdivisionnaires a travers la wilaya, trouvent beaucoup de peine pour se déplacés et par conséquent, font souvent appel a leur propres moyens de transport et parfois aux véhicules des agriculteurs même pour effectuer leurs missions, au moment ou les véhicules de l’état au niveau de la direction sont utilisés a tors et a travers et pour des fins personnel, par le responsable de l’administration et sa famille.

Sur le plan gestion du personnel c’est le désastre. Le service de l’administration est occupé par des gents qui n’ont aucun rapport ni avec l’administration, ni avec la gestion des ressources humaines.
On ce demande sur le degré de responsabilité d’une administration en ce qui concerne la gestion des ressources humaines, quand on traite les anciens cadres de la DSA partant en retraite d’une façon humiliante ! Même pas un petit remerciement après de loyales années de services, au moment ou d’autre administration qui se respectent organisent toute une cérémonie de départ à l’honneur de ces doyens, ne serait ce qu’une façon significative pour leur monter la reconnaissance de l’état pour leurs mérites.

Par ailleurs, le rapport ministériel rédigé à l’occasion de la visite du ministre de l’agriculture en mai 2010 au niveau de la wilaya de Batna, fait état d’un bilan amer en ce qui concerne la gestion des ressources humaines. Parmi l’effectif total (190) composant le personnel de la direction de l’agriculture de Batna, 60 fonctionnaires d’entre eux (le tiers de l’effectif total), partiront bientôt en retraire d’ici 2014, parmi cela on peut trouver 03 chefs de service, 09 chefs de subdivision et 13 chefs de bureau, autrement dit toute une direction qui sera bientôt mise au chaos.
Et en fin pour terminer, Bien que les postes spécifiques vacants actuels sont on nombre de 11 (08 postes de chef de bureau et 03 postes de chef de subdivision, nul n’a le droit a un avancement sauf les privilégiés, la règle est simple, pour bénéficier d’un poste spécifique, vous avez deux solutions, soit que vous adhérer en corps et âme a leur maudit clan, soit que obéissez a la loi de la tchipa. Pour cela, une question se pose d’elle-même : pour quoi y a t il tant de postes vacants non encore occupés bien que sont nombreux ceux, qui continuent a les réclamés ???

Cette lettre a été rédigée par les cadres opprimés de la direction des services agricole de Batna et adressée à toute personne ou organisme pouvant plaider leur cause auprès de nos décideurs.

Cadres de la Direction des Services
Agricoles de la wilaya de Batna



Bonjours collègues J’aimerai partager cet article avec mes collègues de l’agriculture a fin de mettre l’accent sur un problème très grave: « la manipulation des chiffres statistiques par notre directeur (DSA de Batna) » LE MINISTERE DE L’AGRICULTURE MANIPULERAIT LES CHIFFRES DU BLE, SELON L’EXPERT MALEK SERRAI La facture d’importations de blé de l’Algérie a frôlé la barre de 600 millions de dollars au premier trimestre 2011. Elle est supérieure à 2,6 milliards de dollars entre 2009 et 2010, ce qui suscite des doutes chez les experts et les techniciens avertis sur la réalité des quantités produites localement. Les quantités importées annuellement ne descendent pas de moins de 5,7 millions de tonnes selon les statistiques douanières. Pour le Président d’honneur de l’Union nationale des agronomes, Malek Serrai, les bilans reluisants sur la production nationale annoncés ces dernières années par le ministère de l’Agriculture sont loin de refléter la réalité. «Il y a une spéculation de la part du ministère de l’Agriculture, une vraie manipulation des chiffres sur les quantités officielles soi-disant produites», a-t-il souligné dans une déclaration à Maghrebemergent.info. Selon cet expert international en économie, le ministère a tendance à gonfler les chiffres pour faire croire à l’opinion publique que la politique agricole du pays est une réussite. «Mais la réalité des fortes importations est là pour nous rappeler que nous sommes toujours dépendant du marché mondial même si nous continuons d’afficher de fausses quantités», insiste M. Serrai, pour qui les 6,1 millions de tonnes de céréales n’ont jamais été atteintes. La Chasse aux primes, mauvaise incitation Ce consultant international en économie a dénoncé d’autre part certains groupes d’agriculteurs et minotiers peu scrupuleux qui trichent sur les avantages accordés par le gouvernement. Il a révélé que des minotiers achètent des quantités de blé qui dépassent de loin leurs capacités de trituration, et revendent le surplus aux céréaliculteurs, qui, à leur tour le revendent à l’OAIC afin de bénéficier de la prime de rendement. «Le pire dans tout cela est que ces pratiques amènent le ministère à une vraie manipulation de chiffres et d’octroi de prime de rendements sur des quantités qui, en réalité, ne sont pas produites en Algérie», a-t-il regretté. De telles pratiques ont été dénoncées également par certaines chambre de commerces tels Bouira et Ain Témouchent.Ainsi, pour cet expert le retour massif aux importations en 2011 à travers la suppression des taxes sur l’importation du blé dur notamment, est un impératif pour répondre aux besoins réels de la population vue que le pays est très déficitaire. Des propos confortés par les statistiques que nous avons recueillies auprès des douanes sur les importations de blé dont la facture a encore grimpé à 591,91 millions de dollars au premier trimestre 2011 pour un volume de 1,65 millions de tonnes, contre 340,42 millions de dollars pour 1,5millions de tonnes durant la même période de l’année précédente. Au-delà du fait que l’Algérie soit un gros importateur mondial de blé, cette hausse vertigineuse des dépenses est due également au renchérissement des cours de l’or jaune sur les marchés mondiaux du fait de la spéculation, selon M. Serrai. «Il y a une spéculation féroce de la part de groupe internationaux qui font la loi sur les marchés mondiaux de blé ou d’autres produits alimentaires de base», a-t-il prévenu en soulignant que cette situation qui prévaut sur les grandes places de négociation des matières premières et alimentaires a engendré une flambée des prix des principaux produits que l’Algérie importe dont le blé, le maïs, l’orge ou encore le poudre de lait.. La hausse des prix de l’or jaune, qui se négocie actuellement à 235 dollars la tonne pour le blé tendre et 245 pour le blé dur, s’est également accentuée par la sècheresse et les accidents climatiques qui ont causé une baisse de la production mondiale et par conséquences une chute des stocks mondiaux, selon ce même expert. L’exportation de l’orge : «une mauvaise décision que nous payons » Etant déficitaire en blé et en produit céréalier, l’Algérie devrait toujours avoir des stocks conséquents. «Quelques soient la récolte même si elle est bonne et exceptionnelle, il faut toujours avoir un stock conséquent de sécurité des céréales et le maintenir au même seuil afin de faire face à d’éventuelles pénuries et se prémunir par la même des fluctuations des prix sur le marché céréalier, sans quoi nous payerons la facture encore plus chère», a-t-il averti. Pour étayer ces propos, M. Serrai a cité la politique imprudente concernant l’orge qui a coûté au pays des pertes conséquentes. «Nous nous sommes vantées d’être excédentaires. Mais au lieu de stocker notre surplus nous avons préféré l’exporter en espace de six mois pour X dollars et voilà que nous devenons importateurs», a-t-il regretté. Bien que la production nationale des céréales soit dépendante des aléas climatiques, il faut apporter des semences performantes et résistants à la sécheresse et les développer localement, préconise ce même expert. M. Serrai recommande également d’établir d’autres silos dans les hauts plateaux et le grand sud afin d’augmenter la capacité du stockage du pays en céréales. Il a regretté par ailleurs la lourdeur dans la distribution des engrais qui pèse sur les agriculteurs. «Des céréaliculteurs ont le plus grand mal à acquérir leur engrais à temps. Certains ratent même leur campagne céréalière à cause des retards dans l’acquisition des engrais et obtiennent des récoltent en deca des résultats escomptés», a-t-il dénoncé. Source: Magreb émergent 15 Mai 2011
collegue 13 - cadres - batna, Algérie

16/05/2011 - 14775

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Oppression, persécution, marginalisation, exclusion,… tel est le vécu quotidien des cadres au niveau de cette direction et cela continue… Nous vous avons promis de rapporter ici et ailleurs la réalité du comportement de ce directeur et ses lieutenants qui ont une nature méprisante pour tout être humain que ce soit parmi les cadres de l’ agriculture ou autres. Gare à vous si vous avez un niveau supérieur ou équivalent au leur, vous serez vite muselé. Le soi disant encadrement réel de la DSA dit le 14 octobre, 2010 | 10:11 « Quant à la personne du directeur et tout en évitant de nous substituer à qui de droit pour le juger », » pour ce que nous avons connu de cette personne et de son parcours en humanisme, en intégrité, en compétence et en expérience »toutes les qualités quoi ? Étant donne que vous évitez de vous substituer a qui de droit pour le juger alors pourquoi vous dites qu’il a un parcours pleins de qualités…donc c’est un être parfait à ne pas juger. Vous êtes en totale contradiction pour reprendre le post d’un collègue cite plus haut. Vous éviter de le juger d’une part et tout de suite vous le jugez, plutôt vous le bénissez ? Vous êtes de la même pate et cela se voit vous faites du lèche, et je vous connais bien, vous êtes le principal lieutenant de ce directeur et j’ai du quitter mon poste de chef de bureau pour rejoindre un service déconcentré loin de chez moi afin d’éviter un peu vos représailles journalières. Ici et la on raconte que (et tout en ayant fait des recoupements précis et nécessaires pour ne pas donner une fausse information). que vous avez été charge par le directeur pour installer le nouveau subdivisionnaire d’une Daira .Le subdivisionnaire partant en retraite connu par tous par son ancienneté, compétence (et la c’est vrai) d’ailleurs il a un grade plus élevé que le votre ; connu aussi pour son acharnement pour la préservation des biens de l’état (foncier agricole)…n’ a pas été invite a cette installation….c’est le principal concerne….et pourtant ce DSA de Batna a dit le 14 octobre 2010 a 10 :12 je cite « J’ai exigé moi-même que réception soit organisée « Par contre vous avez invite la maffia du foncier rien que la maffia du foncier à savoir ceux qui ont vendu la CASSAP (02 individus membres du conseil de gestion) et celui qui a acheté cette coopérative (01 individu) et ce que vous avez fait est très grave, c’est un acte de pure lâcheté n’est ce pas ? Rappelant en passant que ce dernier individu qui vous accompagnais souvent (plus maintenant parce que vous l’avez chasse par peur d’être indexe comme complice) a midi au restaurant et tout le monde peut en témoigner, rien ne se cache…croyez moi. Cet individu a rase les bâtiments d’exploitation de la cooperative sans permis de démolir comptant créer un lotissement prive. Grâce au subdivisionnaire sortant le permis de lotir de l’intéresse a été annule. Apres le Bla Bla de l’installation un somptueux repas a été servi à cette commission… Quelle honte pour ce lieutenant très proche du directeur et dont le départ en retraite est imminent. Sa conscience ne sera jamais tranquille. Donc il n’y a pas que le directeur qui est en cause dans tous ces déboires, mais il endosse l’entière responsabilité. La preuve est la parce que c’est le seul DSA qui fait objet de requêtes parmi les 48 DSA, n’est ce pas la une preuve de culpabilité ? Pour ne pas faire de fautes d’orthographes j’ai fait appel à mon oncle qui maitrise bien le français et je le remercie du fond de mon cœur. Enfin le recours à internet est aussi un moyen pour dénoncer, et toute information doit être vérifiée voire recoupée. Facebook a fait tomber des têtes, vous le savez bien, A suivre…..
K.R - I.A - BATNA, Algérie

20/02/2011 - 11566

Commentaires

Nous vivons dans un pays ou l'incompétence et la médiocrité priment par révérence. L'Algérie sous l’apparences d'un pays démocratique est en fait une jungle. une jungle infestée de vampires et de prédateurs ...la corruption est a tous les niveaux....nul n’est vraiment a ca place....c'est pour cela que nous sommes classés en terme de développement de justice et d'éducation parmi les derniers....on a beau se voiler la face et peindre la façade...un jour tout s’écroulera comme un château de sable.
collegue8 - cadre - Batna, Algérie

01/02/2011 - 10870

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