Un scandale de dopage '

Au cours des six dernières années, des substances interdites telles que l'EPO, des stéroïdes et de l'hormone de croissance, auraient été utilisées par certains joueurs de football, mais également par des cyclistes, des joueurs de tennis, un boxeur ou encore un joueur de cricket anglais et des champions d'arts martiaux.« Le club adhère aux règlements de l'Agence mondiale antidopage (AMA) et les joueurs de l'équipe première sont soumis à près de 50 contrôles antidopage inopinés au cours de la saison régulière. Aucun des joueurs n'a d'ailleurs été pris à défaut sur ces tests », a réagi Arsenal. De son côté, Chelsea indique que « ces informations sont fausses et sans fondement. Le club n'a jamais fait appel à Mark Bonar, et n'a pas connaissance de joueurs ayant été suivi ou ayant reçu des prescriptions de sa part ». Affaire à suivre...Les clubs réagissentLes quatre clubs mis en cause par le scandale de dopage révélé par le Sunday Times ont nié en bloc toutes les allégations concernant certains de leurs joueurs.Les clubs de Premier League n'ont pas tardé à réagir, dimanche dernier, aux révélations du Sunday Times établissant que certains de leurs joueurs figuraient parmi les clients du docteur Mark Bonar, et avaient donc eu recours à des substances illicites. Du côté de Chelsea, on indique que « ces informations sont fausses et sans fondement. Le club n'a jamais fait appel à Mark Bonar, et n'a pas connaissance de joueurs ayant été suivi ou ayant reçu des prescriptions de sa part. Les joueurs sont régulièrement et rigoureusement testés par les autorités compétentes. » Pour Arsenal, « les joueurs sont pleinement conscients des attentes. Le club adhère aux règlements de l'Agence mondiale antidopage (AMA) et les joueurs de l'équipe première sont soumis à près de 50 contrôles antidopage inopinés au cours de la saison régulière. Aucun des joueurs n'a d'ailleurs été pris à défautsur ces tests. »Du côté de Leicester, on rappelle que les joueurs n'ont pas le droit de prendre le moindre médicament sans en avertir le médecin du club et que toute prise de substance illicite ne peut qu'aboutir sur une fin de contrat. A Birmingham, en revanche, on indique attendre plus d'informations pour pouvoir répondre aux allégations.