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Un «islamiste» arrache et mange le c'ur d'un être humain Les «djihadistes» repoussent les frontières de l'abominable en Syrie


Un «islamiste» arrache et mange le c'ur d'un être humain Les «djihadistes» repoussent les frontières de l'abominable en Syrie
Des milliers d'internautes ont été choqués en visionnant une vidéo mise en ligne hier sur YouTube et la chaîne de télévision Syrian Truth, montrant un «mercenaire islamiste» décapiter, en Syrie, le corps d'un homme avant de lui arracher le c'ur et le manger.
Une scène de cannibalisme qui ne renseigne pas uniquement sur une haine extrême et inqualifiable, mais qui démontre également le caractère inhumain et monstrueux de l'auteur de cet acte.
Ces scènes donnent une idée sur les crimes commis en Syrie au nom de l'Islam (religion qui interdit totalement ce genre de comportement) et de «la lutte contre le pouvoir syrien».
Aux assassinats collectifs commis dans plusieurs endroits de la Syrie, égorgements, torture, pose de bombes dans les lieux publics, des «opposants» syriens et «djihadistes» venant de plusieurs pays, mettent en ligne leurs «hauts faits d'armes», montrant l'exécution sommaire de militaires, policiers et autres civils devant des caméras, riant, parfois.
En Syrie où des armes chimiques ont été utilisées (gouvernement et «opposition» se rejettent la balle), Al Qaïda a mis un pied à travers l'organisation Al Nosra qui a annoncé publiquement son allégeance à l'organisation terroriste d'Aymane Al Zawahiri, sans que des pays favorables à la dotation des «opposants» en davantage d'armes et de munitions ne changent d'avis. Des militaires, policiers et civils, accusés d'être «proches du pouvoir» syrien ont été jetés de terrasses et criblés de balles tandis qu'elles agonisaient ou ayant rendu l'âme.
Des «pseudo-prédicateurs ont même appelé, via des réseaux sociaux, les «djihadistes» à «venir en Syrie pour y combattre et épouser des Syriennes». «Le djihad sexuel» est inventé, encouragé indirectement par certains pays du Golfe et certains pays occidentaux quand ils accordent un appui politique et une logistique militaire aux criminels qui sévissent au nom de la religion.
«L'opposition» syrienne composée, paradoxalement, et en grande partie, de «djihadistes» venus de différents pays, dont la Tunisie, l'Algérie, l'Ouzbékistan et la Libye, sous la bannière d'Al Qaïda pour nombre d'entre eux, ne cesse de commettre des crimes inqualifiables «au nom du peuple syrien», un peuple qui est pourtant la première victime de ces groupuscules armés.
L'un des crimes commis par ces «opposants» est la prise d'otages de populations entières en Syrie.
En prenant d'assaut des villes, ces «djihadistes» dont certains crimes rappellent les exactions commises par le Groupe islamique armé (GIA) en Algérie (décapitation de corps, égorgements, pose de bombes et de véhicules piégés dans les lieux publics') s'installent dans ces agglomérations peuplées dans le but probable d'éviter les frappes de l'armée syrienne.
Une prise d'otages qui, malheureusement, a fait des centaines de milliers de victimes en Syrie durant ces deux années de guerre.


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