Algérie

Sidi Bel Abbès


Grogne des enseignants du supérieur L?octroi d?un quota de 155 logements aux enseignants demandeurs de l?université Djillali Liabès est-il remis en cause. C?est la question que pose la section locale du Conseil national des enseignants du supérieur (CNES) qui, dans un communiqué rendu public mercredi, a appelé à la tenue d?une assemblée générale qu?il qualifie de décisive et devant être programmée avant le 11 novembre 2005. Concernant la genèse de ce dossier qui revient souvent dans ses revendications, le CNES explique : « depuis avril 2003, les autorités locales ainsi que notre tutelle ont annoncé l?octroi de 155 logements au profit des enseignants de l?université de Sidi Bel Abbès et se sont engagés à trouver les moyens adéquats pour régler définitivement le problème du logement au niveau de notre établissement ». « Officiellement, la bonne volonté de notre tutelle s?est traduite par les différentes démarches administratives entamées pour la prise en charge financière de ce projet et par une rallonge de 50 autres logements sociaux au niveau de la wilaya de Sidi Bel Abbés », ajoute le CNES qui fait état d?un « blocage de l?opération d?octroi de logement à cause, notamment, d?entraves bureaucratiques ». Au niveau de l?organisme détenteur de ces logements, la CNEP, il est dit, selon le CNES, que rien n?a été fait pour le paiement de ce quota. Un an de prison ferme pour un faussaire Le tribunal de Sidi Bel Abbès a condamné, mercredi dernier, un jeune faussaire âgé de 21 ans, à une année de prison ferme, après délibération du jury. Les chefs d?accusations retenues contre les trois présumés faussaires sont « faux et usage de faux, falsification et détention d?arme à feu ». Les deux autres co-accusés ont bénéficié d?un acquittement dans cette affaire dont les faits remontent à 2004, lorsque les éléments de la brigade de recherche de la gendarmerie nationale ont procédé à l?arrestation du principal accusé, le dénommé B. Mohammed. Après perquisition de son domicile, les gendarmes avaient découvert du matériel informatique et des accessoires servant à la confection de faux billets de banque. Des coupures de billets de 200, 500 et 1000 DA avaient été saisies lors de la perquisition, mais aussi une arme à feu, apprend-on de source judiciaire.


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