Algérie - Arts et Cultures Divers

Quand la pègre de la 'Coopération' débarque à Alger




Les hôtes étrangers de l'Algérie sont accueilli par de hautes autorités algériennes à l'aéroport d'Alger. Suite à un accueil de bienvenue sur le terre algérienne dans la zone aéroportuaire, ils sont embarqués à bord de véhicules blindées aux vitres, teintées, pour être dirigés, sous escortes militaires, vers leur lieu de séjours, dans l'une des résidence d'Etat ou dans des hôtels 5 étoiles où ils sont pris en pension complète : repas, libations, amants et amantes autochtones. Des fillettes et des garçonnets à peine sortis de l'adolescence sont mis à contribution pour satisfaire les désirs sexuels des convives étrangers, défenseurs de s droits de l'homme et de la femme.



Qui ose dire qu'il n'a pas vu des enfants des deux sexes se prostituer sur les trottoirs du centre d'Alger et de ses proches banlieues et l'Algérie toute entière se transformer progressivement en décharge et en lupanar à cieux ouverts ?



Quand ces visiteurs pleins de vices et malices se trouvent dégrisés, pendant leurs rares intervalles de lucidités, ils sont mis en contact avec des 'intellectuels' et des 'journalistes' locaux, connus pour être des serfs-relais de l'un des régimes apolitique des plus scélérat de tout le continent africaine. L'un de ces hôtes 'Ami de l'Algérie', dit-on là-bas, universitaire toulousain, à son retour en France, par voie de presse, il a vanté : 'La liberté des médias algériens au point d'étonner des français.'



Dans son rapport de 2013, RSF (reporters sans frontières' a classé la liberté de la presse algérienne au 125ème rangs sur 179 pays observés. 'L'Algérie, dit-on, est un pays riche mais sont peuple pauvre.' Qu'il me soit permis d'ajouter : l'Algérie est un pays sans cesse glorifiée par de profiteurs autochtones et étrangers mais ses dirigeants sont vomis par leurs peuples.



RSF a noté qu'en entre 2011 et 2012, en matière de la liberté de la presse, le pays : 'Des mou'djizate' (miracles), comme disait feu Yasser Arafat, a perdre 3 rangs. Le fait de classer Maroc et en Tunisie derrière l'Algérie en matière de la liberté de la presse rend le rapport d'RSDF fort douteux car nos voisins marocains et tunisiens ont arraché le droit de manifester pour revendiquer leurs droits politiques et sociaux, ce qui est formellement interdit dans une Algérie soumise à l'Etat d'exception depuis 1992, depuis 21 ans.





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