Algérie

Pour qui roule l'intérim de la DJS '



Dur, dur l'intérim au secteur département du ministre Hattab, une direction sur cale, une jeunesse marginalisée des infrastructures cadenassées et un bataillon loin de son expérience suite à notre enquête ou l'évaluation est au-dessus du zéro malgré le coup de starter du wali Bentouati Abdeslam qui a réussi de mettre le train en marche avec quatre-vingt et un terrains combinés, la rénovation de l'OPOW Kaid Ahmed selon les normes internationales, le lancement de six projets pour des piscine s'ajoute l'inauguration du joyau de la CADAT qui a connu des pas stagnées dans la boue depuis les années 1980.Au premier chapitre de ce reportage sur le secteur sinistré on s'interroge sur la validation des assemblées des différentes associations qui mène a un divorce entre le collectif du secteur dont chacun trouve son compte pour s'enrichir d'une part de l'incompétence des décideurs ou manque d'expérience. Aujourd'hui la direction du sinistré est livrée a ? elle ? même avec une armada sans expériences, une jeunesse marginalisée et le sport a Tiaret enterré malgré la panoplie des projets morts ? nés ont connu le fonctionnement grâce à l'argent injectée par le trésor public.
Avec le rythme accéléré et le suivi quotidien du premier responsable pour boucler la boucle et la remise des infrastructures aux jeunes athlètes des différentes disciplines et de redonner au sport sa place au sommet a l'image de la JSM Tiaret qui carbure sans défaites depuis trois saisons Aujourd'hui elle occupe la tête du peloton en solo de la division Amateur avec un pas au palier supérieur suivi d'un instant à l'autre par le premier responsable de la wilaya.
Mais en vain avec le soutien du Wali Ben Touati qui a mis le paquet aux différentes catégories des disciplines pour un objectif des palmarès a cette partie de la ;population n'arrive pas a comprendre devant une muraille sinistrée avec un encadrement loin du sport tout se transforme a la dérive dont le plus grave aucun responsable à la hauteur.
Chez ? nous a Tiaret tout se transforme et chacun trouve son compte pour s'enrichir au sein d'un secteur à l'agonie dont les infrastructures culturelles et sportives se sont transformées à des fins personnelles dont le plus grave, les équipements destinés aux Maisons de jeunes et aux centre sportifs de proximité ont été détournés vers d'autres cieux. Le secteur de la DJS a Tiaret a changé son statut gouvernemental pour dévier vers l'autre canal commercial qui rapporte beaucoup a-t-on constaté a travers les infrastructures chaque président a le droit de verser un montant en guise de location pour les entrainements.
L'exemple de l'un des maitres «Karaté» refuse l'offre et rejoint la foret des pins de l'autre coté l'association «Aigle noir» qui flottée l'emblème national sur les pyramides et autres continents se trouve aujourd'hui entassé avec ces champions nationaux, africains et mondiaux dans un salon d'un f3. Le comble, selon les informations recueillies sur les lieux, le premier responsable de ce secteur a bafoué les lois de la République a maintes reprises il valide sans consulter ou de respecter les directives du représentant gouvernemental Que se passe-t-il les instructions n'ont pas trouvé les chemins vers les infrastructures, modifiées à des fonds de commerce par les cadres, on avance les frais d'adhésion des différentes activités aérobic, musculation, judo et karaté sont versés dans les poches des rabatteurs qui roulent pour le compte des intérims. Selon les mêmes sources, ajoutent les conventions signées entre (les deux parties..) on avance les noms des présidents qui émargent sur le listing de paie du secteur «Charité bien ordonnée commence par soi-même».
Les piscines semi-olympiques et Maisons de jeunes ont connu le même sort, elles sont gérées par une poignée de courtiers dont le tarif est fixé au pif, de l'internet et les stands d'expositions à prix négociable. L'un des plus importants des secteurs, avec tous les moyens mis par le Wali Ben Touati Abdeslam ces dernières années ce fameux organisme est actuellement sans responsable, selon les observateurs et les intérimaires continuent à gaspiller et à rafistoler pour mener la barque à la dérive, rien ne va plus dans cet organisme où tout va à la traîne au rythme de la tortue, un secteur où tout doit se télescoper.
Un secteur géré par une armada de cadres sans expérience et les recrutements se font aveuglement pour ne pas dire héritage a chaque mise en retraite on réintègre le proche du partant. La nouvelle équipe chargée de la gestion des infrastructures est à la croisée des chemins et chacun décide à sa manière, et parmi la composante des conseillers et animateurs de la culture à leur tête l'intérimaire dont des faux communiqués sont transmis au wali.
A Tiaret ou tout un bataillon ne sait pas ce qui se passe autour de lui, a l'image de la commune de Guertoufa un patelin a vol d'oiseau on réalise un nouveau stade pour enterrer celui de son proximité et une fois interrogé le responsable «Pour faire du jumelage, on gère à notre manière» Lors des visites marathoniennes de la délégation a leur tête le Wali, des sanctions lourdes pleuvent envers les entrepreneurs et les chargés de suivi, sur le retard et la qualité mais une fois inauguré la remise du clé sous le paillasson.
Le secteur «Jeunesse et sport» est comme un portable avec une batterie usée, les journées de sensibilisations ne figurent pas au calepin des cadres, se présentent une fois l'occasion ce que confirment la chaîne des éducateurs et psychologues en promenade libre, et la marginalisation des champions.
La liste est longue, et autres anomalies, n'en parlons pas en attendant l'enquête pour tisser la toile la région de Tiaret qui a enfanté les figures de proues. Pour la première fois dans l'histoire le Wali s' engage corps et âme et se déplace chez les figures emblématiques et décidé d'honorer a chaque occasion les noms des grands et la première initiative le talent de tous les temps Adda Maidi.
Le premier responsable avec une autre vision de la création d'un musée de la JSM Tiaret, et ouvre les portes aux créateurs des petites entreprises pour la fabrication des tenues sportives, fanions, et drapeaux vu la galerie des habbaches composée de plus de 30.000fans. Avec cette locomotive a une vitesse «V» et sous le télescope du premier responsable cette région ne mérite pas un cadre a la hauteur pour gérer ce secteur une fois le train est sur le rail? Quelle sera la décision du ministre Hattab a l'heure des évaluations de son secteur.
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