Algérie - A la une

Possibilité de "réinstaurer l'ingéniorat professionnel"


Possibilité de
La formation professionnelle en Algérie dispense des cours dans 460 spécialités différentes, afin d'être au plus près des besoins exprimés par les divers secteurs de l'économie nationale, a signalé le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Mohamed Mebarki, hier sur les ondes de la Radio nationale. Mebarki indique que "l'évolution constante des techniques, amène à intégrer quatre à cinq spécialités nouvelles dans les centres de formation".La formation professionnelle en Algérie dispense des cours dans 460 spécialités différentes, afin d'être au plus près des besoins exprimés par les divers secteurs de l'économie nationale, a signalé le ministre de la Formation et de l'Enseignement professionnels, Mohamed Mebarki, hier sur les ondes de la Radio nationale. Mebarki indique que "l'évolution constante des techniques, amène à intégrer quatre à cinq spécialités nouvelles dans les centres de formation".Signalant que 600.000 élèves suivent des cursus de formation dans les différents établissements de formation répartis à travers le pays, il estime que "son secteur pourrait en accueillir davantage, s'il existait un système d'orientation tourné spécialement vers les quelque 450.000 jeunes quittant l'école prématurément et les 600.000 autres abandonnant les études universitaires".Admettant l'absence de passerelles pouvant permettre à ces derniers de bénéficier d'une formation, Mebarki fait, par ailleurs, état d'une réflexion en cours relative à une relance de l'enseignement professionnel, ouvrant la voie à un ingéniorat, "qui a existé par le passé". Soulignant l'important impact de la formation sur la résorption du chômage, le ministre rappelle que 76 % de porteurs de projets de l'Ansej ont préalablement bénéficié d'une formation professionnelle.Quand on lui fait remarquer que le secteur de l'agriculture accuse un déficit de 500.000 travailleurs et celui du bâtiment et des travaux publics de 850.000 autres, Mébarki répond que des formations relatives à ces secteurs sont toujours dispensées dans les centres. Il explique que le manque d'engouement des jeunes pour ces secteurs, en particulier, pourrait résulter de la pénibilité de ces métiers.Signalant que 600.000 élèves suivent des cursus de formation dans les différents établissements de formation répartis à travers le pays, il estime que "son secteur pourrait en accueillir davantage, s'il existait un système d'orientation tourné spécialement vers les quelque 450.000 jeunes quittant l'école prématurément et les 600.000 autres abandonnant les études universitaires".Admettant l'absence de passerelles pouvant permettre à ces derniers de bénéficier d'une formation, Mebarki fait, par ailleurs, état d'une réflexion en cours relative à une relance de l'enseignement professionnel, ouvrant la voie à un ingéniorat, "qui a existé par le passé". Soulignant l'important impact de la formation sur la résorption du chômage, le ministre rappelle que 76 % de porteurs de projets de l'Ansej ont préalablement bénéficié d'une formation professionnelle.Quand on lui fait remarquer que le secteur de l'agriculture accuse un déficit de 500.000 travailleurs et celui du bâtiment et des travaux publics de 850.000 autres, Mébarki répond que des formations relatives à ces secteurs sont toujours dispensées dans les centres. Il explique que le manque d'engouement des jeunes pour ces secteurs, en particulier, pourrait résulter de la pénibilité de ces métiers.
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