Oran en bref

-Sécurité Sociale  : 4,8 millions de carte Chiffa établies
Près de 4,8 millions de cartes  Chiffa pour la prise en charge médicale et la fourniture des médicaments ont été distribuées  jusqu’au mois d’octobre dernier, a indiqué  Bourkaib Jawad Brahim, directeur de la sécurité sociale au niveau du ministère du Travail lors de son passage dimanche dernier à Oran. Pour ce qui de la fourniture des produits pharmaceutiques, au titre de cette opération, selon le même  responsable, à ce jour, 8 600 officines à l’échelle du pays sont conventionnées avec les caisses de la sécurité  sociale.
 L’opération de confection de cette carte se poursuivra durant l’année 2011 pour pouvoir faire bénéficier d’autres assurés sociaux.                     
-Parc automobile : 210400 véhicules en circulation en 2009 Quelque 210408 véhicules tous genres confondus étaient en circulation en 2009 à travers la wilaya d’Oran, indique le dernier bulletin «Collections statistiques» de l’Office National des Statistiques (ONS). Selon le document, le parc roulant de la wilaya d’Oran occupait, durant cette période, la troisième place avant Alger (970691) et  Blida (239870). Dans ce même document de l’ONS,  il est mentionné que sept autres wilayas on vu, durant l’année 2009, leur parc automobile dépasser  les  110000 véhicules. Pour la wilaya d’Oran, il est à noter que le parc automobile se répartissait entre 150500 véhicules de tourisme, 48000 camions et camionnettes, 4500 cars et autobus ainsi que 4900 tracteurs.                         -Le Crasc lance une série de rencontres sur le patrimoine oral Le Crasc lance une série de rencontres sous l’intitulé «présentation et débat autour d’un auteur dans le domaine du patrimoine oral». Abdelkader Bendaâmache inaugurera ce cycle le 24 novembre et sera suivi ultérieurement par Mohamed Touzout et Benamar Zerhouni, auteur de plusieurs ouvrages sur la question.
Selon Amine Delai, spécialiste du «melhoun» et coordinateur de cet événement, «en invitant des conférenciers non académiques, l’initiative répond surtout au souci de faire en sorte que l’université s’ouvre à la société et, delà, répondre à la demande sociale.»