Algérie - A la une


On vous le dit
- Le Club des Pins se débarrasse des chalets ChadwickLes fameux chalets Chadwick, qui avaient défrayé la chronique dans les années 1990, seront remplacés par de nouvelles structures légères d'hébergement «plus spacieuses, mieux équipées et moins onéreuses», selon un des proches collaborateurs du PDG du Club des Pins, A. Melzi. Les nouvelles structures coûteront environ 4,5 millions de dinars, alors que les chalets Chadwick avaient été facturés, il y a 25 ans, à près de 8 millions de dinars, selon la même source.L'importation, effectuée à partir des USA par la CNEP, avait soulevé à l'époque un tollé au sein de la presse et de l'opinion publique nationale, alors que le pays traversait une grave crise économique. L'entretien seulement de ces chalets aurait coûté une somme «pharaonique» aux finances de la direction de la zone d'Etat et donc des finances publiques.- Quand Air Algérie «zappe» Sétif-MarseilleSans crier gare, la compagnie nationale Air Algérie met une croix sur le vol régulier Sétif-Marseille. Cette ligne a été, nous dit-on, transférée vers l'aéroport de Jijel. Pour justifier une telle décision qui a beaucoup irrité les habitués de la ligne, on évoque un coefficient de remplissage insatisfaisant. Pour d'autres intervenants, cet argument ne tient pas la route. «On ne doit pas se voiler la face, l'annulation de la ligne Sétif-Marseille ne repose sur aucun argument valable.Pour preuve, durant la saison estivale le vol hebdomadaire est renforcé par un deuxième. La question du coefficient est une diversion. On pouvait maintenir la ligne avec un module de 737/600 de 101 places, et booster le cas échéant le rendement de la ligne. Savez-vous que la ligne Alger-Marseille est assurée par des ATR (Avion de transport régional) '» interroge, sous le sceau de l'anonymat un agent de la compagnie exerçant à l'aéroport de Sétif, où les abonnés de la ligne «zappée» ne décolèrent pas.- Bras de fer à la Chambre de commerce de SétifElu le 12 mai 2014, le nouveau bureau de la Chambre de commerce et d'industrie de Sétif (l'une des plus importantes du pays), qui n'a toujours pas lancé son programme d'action, vient de geler ses activités. Le blocage minant la CCI des Hauts-Plateaux se trouve désormais sur le bureau du ministre du Commerce et du président de la CACI (Chambre algérienne du commerce et de l'industrie).«Nous ne pouvons travailler avec un directeur qui refuse non seulement de collaborer avec des élus animés d'une bonne volonté, mais qui fait tout pour saborder notre feuille de route qui consiste à redorer le blason de la CCI de Sétif, qui n'a pas besoin de faux problèmes», dira avec colère, le président de la CCI, Amar Seklouli.- Les squatteurs des vestiaires relogésPlus de 29 familles qui ont squatté, il y a une vingtaine d'années, les vestiaires du site sportif de Beriane (Boufarik), viennent d'être relogés dans des logements décents à Larbaâ, commune distante d'une vingtaine de kilomètres de Boufarik, où 45 familles ont déjà été relogées au mois de juin dernier. Tous les moyens nécessaires à cette action ont été mis à la disposition de la cellule de recasement. Enfin, le maire de Boufarik pense déjà à la réhabilitation des vestiaires, afin qu'ils reprennent leur vocation initiale et en faire profiter les jeunes citoyens de Boufarik, avides de sport et de détente.- Un homme mortellement percuté par un trainAux environ de 21h, dans la nuit de mardi à mercredi, l'autorail assurant la desserte Chlef-Oran a percuté un quinquagénaire répondant au initiales de B.B. Le drame s'est produit aux abords de la ville de Djidiouia, une cité sise à quelque 40 km à l'est du chef-lieu de la wilaya de Relizane. Alertés, les éléments de la Protection civile ont évacué le corps sans vie sur l'EPSP de la ville et les instances habilitées ont ouvert une enquête pour déterminer les responsabilités dans cet accident ferroviaire survenu quelques jours seulement après le drame d'Hussein Dey.




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