Algérie

On vous le dit


- Le DG de l’ENPI demandé à Blida L’ex-EPLF de Blida, aujourd’hui ENPI, a construit un important centre des affaires à Bab Dzaïr, au cœur de la ville des Roses. Considéré comme un joyau architectural par plus d’un et ressemblant à Riad El Feth d’Alger, ce joyau semble être mis aux oubliettes… Bien qu’il ait été inauguré en 2007 par le président de la République, ce centre, abritant une centaine de locaux, n’est toujours pas opérationnel à 100%. La moitié des locaux sont encore inoccupés… «L’ENPI doit booster l’opération de vente des locaux encore libres, comme elle doit pousser les propriétaires de locaux qui demeurent fermés à les ouvrir. Cela afin de mieux animer le centre et le rentabiliser», propose un salarié travaillant dans un bureau situé dans le centre en question. «On propose au DG de l’ENPI de visiter le centre et de voir avec les autorités locales de Blida pour qu’elles y ouvrent leurs antennes ou annexes, et ce, dans le but de tout centraliser dans un seul endroit», ajoute-t-il. - La NSA écoutait des internautes ordinaires En étudiant une grande quantité de communications interceptées par la NSA (National Security Agency), le Washington Post a découvert qu’elles concernaient très majoritairement des internautes ordinaires, américains compris, au lieu de ressortissants étrangers surveillés avec l’accord de la justice. Le journal a examiné environ 160 000 courriels et conversations instantanées, ainsi que 7900 documents extraits de plus de 11 000 comptes en ligne collectés par l’agence de renseignement américaine entre 2009 et 2012. «Neuf détenteurs de compte sur dix trouvés dans un vaste cache de conversations interceptées, que l’ancien technicien de la NSA, Edward Snowden, a fournies au Post dans son intégralité, n’étaient pas les cibles désignées, mais ont été pris dans le filet que l’agence avait tendu à quelqu’un d’autre». Près de la moitié des dossiers, écrit le journal, «contenaient des noms, des adresses email et d’autres détails notés par la NSA comme appartenant à des citoyens américains». Les documents contenaient également des découvertes, assure le quotidien. Parmi les exemples cités, «de nouvelles révélations sur un projet nucléaire secret outre-mer, le double jeu d’un prétendu allié, une catastrophe militaire qui est arrivée à une puissance inamicale et les identités d’intrus agressifs sur des réseaux informatiques américains».  Ces interceptions ont permis la capture de plusieurs terroristes présumés, comme Umar Patek, l’un des suspects des attentats de Bali en 2002.  Mais d’autres dossiers ont été conservés alors qu’ils ne présentaient pas d’utilité aux dires mêmes des analystes de la NSA, et traitaient de sujets intimes comme l’amour, les relations sexuelles illicites, les conversions politiques ou religieuses ou les problèmes financiers.
 
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