Oeuvres sociales des cités universitaires Le SNAPAP revient à la charge

L'union de wilaya du syndicat autonome des personnels de l'administration publique (SNAPAP), à Constantine, s'est fendue, hier, d'un communiqué, dont nous détenons une copie, adressé aux autorités locales et à diverses autres institutions, dans lequel elle a construit l'essentiel de son argumentaire autour de la dénonciation de la situation qui prévaudrait, actuellement, au niveau des oeuvres sociales des cités universitaires «centre», à savoir Nahas Nabil, Mentouri, «El-Firma» et les «2.000 lits». L'inventaire des «dépassements» qui justifient, dans l'urgence, la présente montée au créneau du SNAPAP, fait état, précise le communiqué, du «manque de transparence» dont ferait preuve la commission des oeuvres sociales, (UGTA) au chapitre de la «non présentation» des bilans financiers des exercices 2005 et 2006, de «l'anarchie» qui régnerait dans la location des locaux commerciaux au niveau desdites cités. Pour faire bonne mesure, le syndicat autonome souligne à l'attention des autorités, un fait qualifié de «grave», avec pour cadre la cité universitaire Nahas Nabil, où le locataire qui y exploite une cafétéria a été autorisé à ériger un pavillon, pour élargir l'espace vital de son activité. Affaire à suivre...