Avec délectation et une saveur particulière, tous les médias occidentaux annoncent que Damas, le symbole du pouvoir syrien de Bachar Al-Assad, est en proie à de violents combats qui opposent l'armée et les rebelles. Un tournant, semble-t-il, a été amorcé, et le pouvoir ne tient plus qu'à un fil nous disent les médias"mainstream". Mais, en réalité, de quoi s'agit-il et que se passe-t-il réellement sur place 'Coincée, cynique et morbide, l'Occident exige clairement, depuis le début, le départ de Bachar el-Assad Un principe qui ne repose sur rien. Moscou a décidé d'entrer aussi cette fois-ci, violemment dans le jeu mensonger de l'Occident, en le broyant. Tout d'abord, Poutine rencontre Koffi Annan demain. Sergueï Lavrov le ministre russe des Affaires étrangères a déclaré: «Le président el-Assad ne partira pas, non pas parce que nous le soutenons, mais parce qu'une part tout à fait significative de la population le soutient».C'est la fin du poker menteur. Maintenant, les choses sérieuses peuvent commencer. L'Occident arme les terroristes, Moscou a intérêt à armer les forces légitimes, c'est à dire l'armée syrienne. Il faut en finir avec ces salafistes. Après, qu'on ne nous dise pas que cette incursion ou tentative d'incursion à Damas est un massacre. Ce sont ces fous d'Allah qui ont provoqué, ils doivent être traités comme ils sont, c'est à dire des terroristes. Un déserteur qui s'attaque à l'armée n'est qu'un terroriste. La tentative de l'Occident de qualifier ces renégats en opposants pacifiques est simplement pathétiqu
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Posté Le : 18/07/2012
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Seif Eddine
Source : www.reflexiondz.net