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Les expropriés reviennent à la charge Barrage de Souk N'tleta



Les expropriés reviennent à la charge                                    Barrage de Souk N'tleta
Les expropriés du barrage de Souk N'Tleta, dans la wilaya de Tizi- Ouzou, sont une fois de plus sortis de leur réserve cette semaine. Ils menacent même de recourir à des actions de protestation à partir de la semaine prochaine. En attendant, les concernés ont saisi le wali de Tizi-Ouzou, M. Abdelkader Bouzaghi à travers une requête. Les expropriés, organisés en association depuis des années, insistent toujours pour une reprise des négociations sérieuses comme auparavant : «Un travail de continuité s'impose. A titre d'exemple, les résultats et les décisions concernant les établissements et les terrains épars à grande valeur agricole discutés lors de la dernière réunion sont restés sans suite.»
Aussi, est-il indiqué, l'affectation des terrains de Tadmaït après la délocalisation du dortoir universitaire tout en accélérant les procédures de relogement est vivement revendiqué. Les expropriés exigent, en outre, l'inscription d'un viaduc qui reste impératif car il sera, selon eux, d'un apport considérable quant au désenclavement de toute une région, notamment Ialalen et Aïn Zaouia où résident plus de 20.000 habitants. Les concernés s'interrogent : «Comment pourrait-on installer l'entreprise sans prendre en considération les préoccupations majeures de toute une population qu'on veut déraciner au bon vouloir des services publics qui n'ont rien préparé pour mettre en 'uvre cette délocalisation». De ce fait, les expropriés déclarent accorder un préavis d'une semaine afin que les choses soient prises au sérieux «en donnant des réponses et des décisions concrètes vis-à-vis de notre situation délaissée apparemment par certains cercles vicieux qui n'ont pas d'autres alternatives que d'aggraver et de compliquer la situation tendue».
Les expropriés du barrage de Souk N'Tleta, dans la wilaya de Tizi- Ouzou, sont une fois de plus sortis de leur réserve cette semaine. Ils menacent même de recourir à des actions de protestation à partir de la semaine prochaine. En attendant, les concernés ont saisi le wali de Tizi-Ouzou, M. Abdelkader Bouzaghi à travers une requête. Les expropriés, organisés en association depuis des années, insistent toujours pour une reprise des négociations sérieuses comme auparavant : «Un travail de continuité s'impose. A titre d'exemple, les résultats et les décisions concernant les établissements et les terrains épars à grande valeur agricole discutés lors de la dernière réunion sont restés sans suite.»
Aussi, est-il indiqué, l'affectation des terrains de Tadmaït après la délocalisation du dortoir universitaire tout en accélérant les procédures de relogement est vivement revendiqué. Les expropriés exigent, en outre, l'inscription d'un viaduc qui reste impératif car il sera, selon eux, d'un apport considérable quant au désenclavement de toute une région, notamment Ialalen et Aïn Zaouia où résident plus de 20.000 habitants. Les concernés s'interrogent : «Comment pourrait-on installer l'entreprise sans prendre en considération les préoccupations majeures de toute une population qu'on veut déraciner au bon vouloir des services publics qui n'ont rien préparé pour mettre en 'uvre cette délocalisation». De ce fait, les expropriés déclarent accorder un préavis d'une semaine afin que les choses soient prises au sérieux «en donnant des réponses et des décisions concrètes vis-à-vis de notre situation délaissée apparemment par certains cercles vicieux qui n'ont pas d'autres alternatives que d'aggraver et de compliquer la situation tendue».
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