Algérie

Le ministère du Commerce lance une enquête


Le ministre du Commerce Benmeradi Mohamed, a annoncé qu'une enquête est actuellement menée par ses services auprès des grands producteurs des produits laitierspour « comprendre les raisons des augmentationsaffichées ces dernières semainesnotamment sur les prix du yaourt ».Le ministre du Commerce Benmeradi Mohamed, a annoncé qu'une enquête est actuellement menée par ses services auprès des grands producteurs des produits laitierspour « comprendre les raisons des augmentationsaffichées ces dernières semainesnotamment sur les prix du yaourt ».
Le ministre, qui répondait avant-hier à une question orale à l'APN, a affirmé que ces augmentations ne sont pas justifiées et que « des sanctions seront prises au terme de l'enquête ». Benmeradi défend, par ailleurs, son secteur qui « contrôle parfaitement le marché ». « Nous veillons au contrôle des prix, principalement ceux des produits subventionnés par l'Etat, tels que le sucre, le lait et l'huile », a-t-il dit.
Le ministre affirme que contrairement à ce qui se dit, les produits de consommation de base « n'ont pas connu une hausse vertigineuse, à l'exception de quelques produits concernés par les nouvelles taxes introduites dans la loi de finances 2018 », ou encore ceux qui « obéissent aux prix du marché international, comme les féculents ». Benmeradi a mis en exergue « les efforts de l'Etat » en termes de subventions.Il rappelle dans ce sens que 12 milliards de dinars ont été consacrés depuis 2011 pour soutenir les prix du sucre et de l'huile, en précisant que six milliards de DA ont été décaissés pour couvrir les frais du transport des produits limentaires dans le Sud.
Le ministre, qui répondait avant-hier à une question orale à l'APN, a affirmé que ces augmentations ne sont pas justifiées et que « des sanctions seront prises au terme de l'enquête ». Benmeradi défend, par ailleurs, son secteur qui « contrôle parfaitement le marché ». « Nous veillons au contrôle des prix, principalement ceux des produits subventionnés par l'Etat, tels que le sucre, le lait et l'huile », a-t-il dit.
Le ministre affirme que contrairement à ce qui se dit, les produits de consommation de base « n'ont pas connu une hausse vertigineuse, à l'exception de quelques produits concernés par les nouvelles taxes introduites dans la loi de finances 2018 », ou encore ceux qui « obéissent aux prix du marché international, comme les féculents ». Benmeradi a mis en exergue « les efforts de l'Etat » en termes de subventions.Il rappelle dans ce sens que 12 milliards de dinars ont été consacrés depuis 2011 pour soutenir les prix du sucre et de l'huile, en précisant que six milliards de DA ont été décaissés pour couvrir les frais du transport des produits limentaires dans le Sud.
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