Algérie

Le département d'Etat américain salue les efforts de l'Algérie



Le département d'Etat américain salue les efforts de l'Algérie
Le département d'Etat américain a souligné dans un rapport rendu public que l'Algérie reste un « partenaire clé » pour les efforts mondiaux de lutte contre le terrorisme. Il a été souligné également que les autorités algériennes ne cessent de poursuivre les efforts engagés et cela depuis déjà plusieurs années. Ces efforts se perçoivent à travers les capacités de l'armée et des services de sécurité.Le département d'Etat américain a souligné dans un rapport rendu public que l'Algérie reste un « partenaire clé » pour les efforts mondiaux de lutte contre le terrorisme. Il a été souligné également que les autorités algériennes ne cessent de poursuivre les efforts engagés et cela depuis déjà plusieurs années. Ces efforts se perçoivent à travers les capacités de l'armée et des services de sécurité.Le rapport évoque la restructuration des services de renseignements en septembre 2013 qui a été suivie, en juin 2014 par un décret présidentiel qui "a restauré une certaine autorité de police judiciaire au DRS, le service de renseignement de l'Algérie".Ce décret, observe le rapport, a créé un "nouveau service d'investigation judicaire sous la juridiction aussi bien du DRS que du procureur général". La publication d'un décret officiel lié aux activités du DRS peut être "considérée comme une tentative pour apporter plus de transparence au fonctionnement de l'institution".La seule "critique" ou "regret" dans le chapitre Algérie du rapport mondial 2014 sur le terrorisme, relevé par le site d'information Huffpostmaghreb, se rapporte à la faiblesse de la coopération sécuritaire entre Alger et Rabat.Les deux pays participent, avec la Tunisie, le Burkina, le Nigeria et le Sénégal à plusieurs programmes américains dont le plus connu est le Partenariat transsaharien contre le terrorisme (Trans-Sahara Counter Terrorism Partnership ? TSCTP) qui remplace depuis 2005 l'Initiative Pan-Sahel (Pan-Sahel Initiative ? PSI).Malgré cette participation de l'Algérie et du Maroc à ces programmes, le " niveau de leur coopération bilatérale dans la lutte contre le terrorisme ne s'est pas améliorée en 2014" souligne le rapport du département d'Etat."Le désaccord politique entre l'Algérie et le Maroc sur le Sahara Occidental reste un obstacle à la coopération dans le contre-terrorisme bilatérale et régional"."Des groupes extrémistes violents et des réseaux criminels au Sahel" ont tenté d'agir autour des près de "4.000 miles de frontières algériennes" avec des menaces de représailles à la suite de l'intervention militaire internationale au Mali, du trafic d'armes en provenance de Libye ou de Tunisie ainsi que des trafics de stupéfiants et humains constituent les "principales menaces externes" et rendent la "coordination régionale sur la sécurité des frontières une nécessité".AQMI (al-Qaïda au Maghreb islamique) de Abdelmalek Droudkel et al-Murabitoun de Mokhtar Belmokhtar continue de représenter une "menace" beaucoup plus pesante que le "groupe terroriste Jund al-Khilafat fi Ard al-Jazayer" apparu en 2014 à la suite d'une scission de l'AQMI et juré allégeance à l'Etat islamique en Irak et le Levant (ISIL). Le rapport note qu'il existe une "forte menace d'enlèvement" notamment dans les zones montagneuses de Kabylie et dans le grand sud.En Libye, note le rapport, les conflits civils, la prolifération des groupes armés, la panne de l'Etat ont fourni "un espace et un refuge pour les groupes terroristes". L'absence d'institutions de sécurité, l'accès facile aux armes et des frontières poreuses donnent aux groupes extrémistes violents "d'importantes possibilités d'agir et de planifier les opérations". Le rapport souligne que les affiliés au Daech (EI) étaient actifs en Libye en 2014.Aqmi souligne le rapport a renforcé sa coordination avec Ansar al-charia en Tunisie en partie à cause du "refuge" qu'ils ont trouvé dans "une Libye de plus en plus chaotique". Enfin, observe le rapport, les enlèvements et versement de rançon ont continué à alimenter AQMI de "montants importants". I. A.Le rapport évoque la restructuration des services de renseignements en septembre 2013 qui a été suivie, en juin 2014 par un décret présidentiel qui "a restauré une certaine autorité de police judiciaire au DRS, le service de renseignement de l'Algérie".Ce décret, observe le rapport, a créé un "nouveau service d'investigation judicaire sous la juridiction aussi bien du DRS que du procureur général". La publication d'un décret officiel lié aux activités du DRS peut être "considérée comme une tentative pour apporter plus de transparence au fonctionnement de l'institution".La seule "critique" ou "regret" dans le chapitre Algérie du rapport mondial 2014 sur le terrorisme, relevé par le site d'information Huffpostmaghreb, se rapporte à la faiblesse de la coopération sécuritaire entre Alger et Rabat.Les deux pays participent, avec la Tunisie, le Burkina, le Nigeria et le Sénégal à plusieurs programmes américains dont le plus connu est le Partenariat transsaharien contre le terrorisme (Trans-Sahara Counter Terrorism Partnership ? TSCTP) qui remplace depuis 2005 l'Initiative Pan-Sahel (Pan-Sahel Initiative ? PSI).Malgré cette participation de l'Algérie et du Maroc à ces programmes, le " niveau de leur coopération bilatérale dans la lutte contre le terrorisme ne s'est pas améliorée en 2014" souligne le rapport du département d'Etat."Le désaccord politique entre l'Algérie et le Maroc sur le Sahara Occidental reste un obstacle à la coopération dans le contre-terrorisme bilatérale et régional"."Des groupes extrémistes violents et des réseaux criminels au Sahel" ont tenté d'agir autour des près de "4.000 miles de frontières algériennes" avec des menaces de représailles à la suite de l'intervention militaire internationale au Mali, du trafic d'armes en provenance de Libye ou de Tunisie ainsi que des trafics de stupéfiants et humains constituent les "principales menaces externes" et rendent la "coordination régionale sur la sécurité des frontières une nécessité".AQMI (al-Qaïda au Maghreb islamique) de Abdelmalek Droudkel et al-Murabitoun de Mokhtar Belmokhtar continue de représenter une "menace" beaucoup plus pesante que le "groupe terroriste Jund al-Khilafat fi Ard al-Jazayer" apparu en 2014 à la suite d'une scission de l'AQMI et juré allégeance à l'Etat islamique en Irak et le Levant (ISIL). Le rapport note qu'il existe une "forte menace d'enlèvement" notamment dans les zones montagneuses de Kabylie et dans le grand sud.En Libye, note le rapport, les conflits civils, la prolifération des groupes armés, la panne de l'Etat ont fourni "un espace et un refuge pour les groupes terroristes". L'absence d'institutions de sécurité, l'accès facile aux armes et des frontières poreuses donnent aux groupes extrémistes violents "d'importantes possibilités d'agir et de planifier les opérations". Le rapport souligne que les affiliés au Daech (EI) étaient actifs en Libye en 2014.Aqmi souligne le rapport a renforcé sa coordination avec Ansar al-charia en Tunisie en partie à cause du "refuge" qu'ils ont trouvé dans "une Libye de plus en plus chaotique". Enfin, observe le rapport, les enlèvements et versement de rançon ont continué à alimenter AQMI de "montants importants". I. A.




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