Algérie - A la une

Le coup de bill'art du Soir


Le coup de bill'art du Soir
Par Kader BakouL'apparition du magnétophone (lecteur de cassettes audio), plus pratique que l'électrophone lecteur de disque microsillon, avait permis de «populariser» la musique en Algérie dans les années 1970.Partout, on voyait des jeunes en train d'écouter de la musique dans les rues d'Alger. Enrico Macias, Mike Brant et Frédéric François étaient les idoles des jeunes branchés. Le chaâbi avait bien sûr beaucoup d'adeptes et le chanteur en vogue à l'époque était, sans conteste, Abdelkader Chaou. Les films hindous avaient également permis de populariser la musique indienne en Algérie. Quelques années plus tard, certains sont venus «prêcher» qu'écouter de la musique est un péché.Tout dernièrement, la musique est de retour dans les rues d'Alger (du moins à Alger-Centre), sous une autre forme. Cette fois, c'est «l'interdiction» d'exercer d'un guitariste qui avait sonné le rappel des troupes de musiciens.K. B.


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