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«Le budget n'est pas adopté à cause des perturbations du collectif



«Le budget n'est pas adopté à cause des perturbations du collectif
Le président de l'APC d'El Kseur, Mustapha Aberkane, a réfuté les accusations du collectif des demandeurs de logements et assurequ' «ils ont été reçus à maintes reprises». Et, dit-il, «nous leur avons expliqué que le rôle de la commune, en matière de logement, se limite à la proposition des assiettes foncières et à la participation au choix des terrains. Aussi, nous sommes représentés dans la commission de distribution des logements une fois les projets achevés».S'agissant du projet de 50 logements qui devaient être réalisés à l'entrée de la ville, «nous l'avons stoppé, dit le maire, parce que l'entreprise a entamé les travaux sans le permis de construire.De plus, le site sera saturé à l'avenir. Il y a d'autres équipements publics qui y sont installés et d'autres vont être réalisés comme la gare routière dont l'étude est terminée», dit-il.Et d'ajouter que «l'implantation de 50 logements sur cette partie de la ville va saturer le lieu, d'autant plus que d'autres espaces seront dégagés pour ériger des parkings devant chaque structure, à l'image du nouveau siége de l'APC, les services des impôts, la piscine municipale?».Quand au programme des 202 logements de Berchiche où trois familles occupent une partie de l'assiette réservée à ce projet, le maire précise : «Le terrain sur lequel doivent être construits les 202 logements a été transféré au maître de l'ouvrage.Mais pour aider ce programme à avancer, nous avons trouvé une solution de recasement aux familles dans une école désaffectée que nous avons aménagée, ne serait-ce que temporairement. Mais des citoyens s'y sont opposés». Mustapha Aberkane regrette toutefois qu' «à cause des perturbations occasionnées par le collectif, le budget de la commune n'est pas encore adopté. La justice nous a suggéré de délocaliser les séances de délibérations vers un autre lieu dans la commune, mais ceci ne veut pas dire qui les protestataires ne viendront pas encore pour perturber la tenue des réunions. C'est un chantage par la force».


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