Algérie - A la une


Plusieurs wilayas du pays ont été touchées par les pluies torrentielles qui se sont abattues samedi dernier, notamment, sur la capitale.Plusieurs wilayas du pays ont été touchées par les pluies torrentielles qui se sont abattues samedi dernier, notamment, sur la capitale.
Les services de la Protection civile ont annoncé l'état d'alerte maximale à travers la wilaya d'Alger. Ils ont appelé à éviter les déplacements sauf en cas de nécessité absolue. Les citoyens n'en reviennent pas de l'ampleur de la catastrophe. Si ces pluies sont salutaires pour diverses raisons, par contre, elles n'ont pas fait la joie de nombreux citoyens, victimes de la mauvaise gestion des pouvoirs publics. Sinon, comment expliquer que des pluies, aussi torrentielles soient-elles, peuvent en quelques heures seulement, noyer des quartiers entiers, d'une capitale comme Alger '
C'est la question qui soulève la colère des Algériens depuis la catastrophe d'il y a un mois, une journée pour rappel, qui a coïncidé avec la rentrée scolaire, où des quartiers entiers, des parkings, des routes et des tunnels, et même des écoles se sont retrouvés sous les eaux très rapidement, causant d'importants dégâts. C'est le même scénario qui se répète chaque année. Et les images et vidéos publiées sur les réseaux sociaux, le montrent et le démontrent. En seulement quelques heures de précipitations plusieurs rues et quartiers entiers d'Alger et d'autres wilayas ont été inondés. La circulation automobile a été fortement perturbée sur plusieurs tronçons autoroutiers, notamment au niveau de la rocade Nord. Certaines d'entre elles, ont même été coupées à la circulation. Des scènes de panique de citoyens piégés dans les eaux ont été signalés notamment à Baba-Hassene, Saoula, Birkhadem, Gué-de- Constantine, Ben-Aknoun, Aïn- Naâdja et Oued-Ouchayeh. Les fortes quantités de pluies ont causé le blocage de la ligne de tramway à ruisseau de même que des dégâts matériels ont été déplorés à l'instar de deux véhicules emportés suite au débordement de oued Boudjemaâ- Temim, qui se situe entre Draria et Baba- Hassene. Les éléments de la Protection civile sont parvenus, heureusement, à les repêcher.
Plusieurs wilayas du pays n'ont pas été épargnées par ces inondations dues aux pluies torrentielles, notamment Mazouna dans la wilaya de Relizane ou encore Oran, où la route nationale numéro 11, a été complètement coupée à la circulation. Pour ne citer que cela, en attendant le bilan national et officiel. A noter que même si les éléments de la Protection civile sont au four et au moulin en plus de quelques intervention combien timides des différentes institutions, les citoyens pointent du doigt l'irresponsabilité et le bricolage des pouvoirs publics, notamment les autorités locales, qui n'ont de préoccupations que les élections à venir
Les services de la Protection civile ont annoncé l'état d'alerte maximale à travers la wilaya d'Alger. Ils ont appelé à éviter les déplacements sauf en cas de nécessité absolue. Les citoyens n'en reviennent pas de l'ampleur de la catastrophe. Si ces pluies sont salutaires pour diverses raisons, par contre, elles n'ont pas fait la joie de nombreux citoyens, victimes de la mauvaise gestion des pouvoirs publics. Sinon, comment expliquer que des pluies, aussi torrentielles soient-elles, peuvent en quelques heures seulement, noyer des quartiers entiers, d'une capitale comme Alger '
C'est la question qui soulève la colère des Algériens depuis la catastrophe d'il y a un mois, une journée pour rappel, qui a coïncidé avec la rentrée scolaire, où des quartiers entiers, des parkings, des routes et des tunnels, et même des écoles se sont retrouvés sous les eaux très rapidement, causant d'importants dégâts. C'est le même scénario qui se répète chaque année. Et les images et vidéos publiées sur les réseaux sociaux, le montrent et le démontrent. En seulement quelques heures de précipitations plusieurs rues et quartiers entiers d'Alger et d'autres wilayas ont été inondés. La circulation automobile a été fortement perturbée sur plusieurs tronçons autoroutiers, notamment au niveau de la rocade Nord. Certaines d'entre elles, ont même été coupées à la circulation. Des scènes de panique de citoyens piégés dans les eaux ont été signalés notamment à Baba-Hassene, Saoula, Birkhadem, Gué-de- Constantine, Ben-Aknoun, Aïn- Naâdja et Oued-Ouchayeh. Les fortes quantités de pluies ont causé le blocage de la ligne de tramway à ruisseau de même que des dégâts matériels ont été déplorés à l'instar de deux véhicules emportés suite au débordement de oued Boudjemaâ- Temim, qui se situe entre Draria et Baba- Hassene. Les éléments de la Protection civile sont parvenus, heureusement, à les repêcher.
Plusieurs wilayas du pays n'ont pas été épargnées par ces inondations dues aux pluies torrentielles, notamment Mazouna dans la wilaya de Relizane ou encore Oran, où la route nationale numéro 11, a été complètement coupée à la circulation. Pour ne citer que cela, en attendant le bilan national et officiel. A noter que même si les éléments de la Protection civile sont au four et au moulin en plus de quelques intervention combien timides des différentes institutions, les citoyens pointent du doigt l'irresponsabilité et le bricolage des pouvoirs publics, notamment les autorités locales, qui n'ont de préoccupations que les élections à venir
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