Algérie

L'opération n'a pas touché toutes les communes


La wilaya avait quelques années auparavant ordonné la libération de toutes les rues et ruelles fermées par des institutions publiques.Des rues se trouvant à l'avenue Pasteur, à la rue Abane Ramdane ou encore à Hassiba Ben Bouali ont été ouvertes aux piétons et à la circulation automobile. Cependant, cette opération, qui a été accueillie favorablement par les habitants de la capitale, n'a pas été généralisée. A Rouiba, l'artère principale qui traverse la ville de bout en bout continue de faire l'objet d'un squat autorisé.
Un commissariat de police déborde sur le trottoir et la chaussée pour en occuper une bonne partie. C'est également le cas à Bordj El Bahri, où un commissariat a accaparé tout le trottoir.
Les piétons qui arrivent à hauteur de cette structure de la sûreté urbaine sont obligés de marcher sur la chaussée. Le constat est pratiquement le même dans toutes les communes qui se trouvent dans la périphérie. «Le paramètre n'étant plus de mise, les pouvoirs publics doivent revoir cette manière de gérer l'espace urbain», confie un habitant de la commune de Rouiba.
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)