L'enfer des encombrements au quotidien

Rien ne va plus à Bordj Ménaïel dans le domaine de la circulation automobile, que ce soit à l'entrée coté Est en venant d'Alger qui depuis quelques mois, si ce n'est plus, la route fait l'objet de réfection sur sa partie superficielle consistant à remplacer la couche de bitume très dégradée pour cause de travaux de réfection, et dire que la route avait été goudronnée il y a moins d'une année suite à un projet de wilaya.La question qui se pose est pourquoi avoir engagé des travaux de bitumage pour venir ensuite décaper pour effectuer des travaux de pose de canalisation de conduite d'eau potable suite au projet de dessalement provenant de Cap-Djinet ' Pourquoi avoir placé la charrue avant les b?ufs dans pareille circonstance ' Ne serait-il pas mieux de faire une étude à cet effet ' Aussi, il est incompréhensible que les services de la téléphonie (internet) se permettent d'enfouir souterrainement leurs câbles en plein centre de la route sans se soucier des problèmes de pannes qui puissent surgir. Sur plusieurs tronçons, des travaux de décapage ont été effectués, donnant un aspect rugueux et ondulé à la route. A cause de la pose du câble d'internet, la circulation est lente à tel point que des bouchons finissent par se former rapidement lorsque des automobilistes se mettent à dépasser par la droite au niveau des accotements. Ces derniers sont pourtant jonchés de gravats issus de l'opération de décapage du bitume. Ce qui contraint ceux qui ont dépassé à négocier leur retour sur la chaussée et, ainsi être à l'origine de l'arrêt total de la circulation. A l'entrée de la ville de Bordj-Menaiel, les choses se compliquent chaque jour pour les automobilistes où il est quasiment impossible de pénétrer le centre-ville sans être stressé par l'encombrements de la circulation où un véritable cafouillage se déroule chaque jour. Les automobilistes ont les nerfs à bout, asphyxié par une fille d'attente interminable de véhicules à proximité du barrage de sécurité. Que faut-il faire pour soulager les usagers de cette route où la circulation se complique davantage et les automobilistes se sentent asphyxiés par des files d'attente interminables de véhicules bloqués, aussi un véritable cafouillage se déroule le jour du vendredi (jour de marché) entre entrées et sorties de véhicules particulièrement la matinée entre 8 h et 12 h où il est quasiment impossible de pouvoir trouver un lieu de stationnement pour aller se ravitailler au marché de fruits et légumes, alors la seule solution est de garer son véhicule au niveau du quartier d'Aïn-Bouharrou devant des domiciles. Les élus locaux doivent ouvrir des parkings pour décongestionner la circulation.