Algérie

L'Algérie reste un modèle à suivre Clinton salue les réformes engagées par l'Algérie


L'Algérie reste un modèle à suivre                                    Clinton salue les réformes engagées par l'Algérie
L'Algérie, qui a vécu son "printemps arabe" depuis près d'un quart de siècle, un certain 5 octobre 1988, est en passe de parachever ses réformes, de manière pacifique et concertée. C'est, en tous cas, l'avis de Washington qui vient d'évoquer le cas algérien par la voix de la secrétaire d'Etat, Hillary Clinton.
L'Algérie, qui a vécu son "printemps arabe" depuis près d'un quart de siècle, un certain 5 octobre 1988, est en passe de parachever ses réformes, de manière pacifique et concertée. C'est, en tous cas, l'avis de Washington qui vient d'évoquer le cas algérien par la voix de la secrétaire d'Etat, Hillary Clinton.
Tout porte à croire que la « lune de miel » qui caractérise les relations entre Alger et Washington a toutes les chances de durer encore pas mal de temps, au regard des points de vue identiques que développent les deux pays concernant plusieurs sujets d'importance. Ainsi donc, et après le soutien franc apporté par les USA aux actions menées par l'Algérie en vue de criminaliser le paiement de rançons aux groupes terroristes, Washington, par la voie de sa secrétaire d'Etat, Hillary Clinton, vient d'afficher son soutien, franc et entier, aux ultimes réformes mises sur rail par le président Bouteflika au lendemain des émeutes du sucre et de l'huile qui avaient secoué le pays. «L'Algérie a beaucoup à gagner en adoptant les changements qui s'opèrent autour d'elle, et nous avons constaté certains progrès», à travers les réformes engagées, a en effet souligné Hillary Clinton, ce vendredi à Washington. La chef de la diplomatie américaine a fait cette déclaration lors d'une allocution consacrée aux transitions démocratiques au Maghreb, prononcée au Think Tank américain Center for Strategic and International Studies (CSIS). Cela, sans oublier de rappeler le rôle de l'Algérie comme membre fondateur du Forum global de lutte contre le terrorisme (GCTF) lancé en septembre dernier à New York.
L'attitude US apporte également un bémol à la diplomatie algérienne, engagée dans un bras de fer dantesque contre la France, favorable à une intervention armée dans le nord du Mali, tombé aux mains des groupes terroristes d'AQMI (Al-Qaïda au Maghreb islamique) et du Mujao (Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest). Une pareille intervention, en effet, pourrait légitimer «l'appel au jihad» de ces groupes terroristes, comme cela s'était produit en Afghanistan, puis en Irak, générant au passage le chaos dans toute la bande sahélo-saharienne, sans épargner une bonne partie du grand Sud algérien. Car il ne faut pas perdre de vue que l'Algérie partage avec le Mali pas moins de 3.000 kilomètres de frontière. Elle fait également partie des pays du Champ, à savoir le Niger, la Mauritanie ainsi que le Mali.
Sur un tout autre chapitre, la secrétaire d'Etat américaine, s'est également félicitée du dispositif de sécurité déployé par les autorités algériennes à l'ambassade américaine à Alger suite aux violences connues par plusieurs pays musulmans en septembre dernier, au lendemain de la parution d'extraits d'un «film fantôme» attentatoire à l'Islam ainsi qu'au prophète Mohamed (QSSL). Tout en retraçant le processus démocratique entamé en Tunisie et en Libye suite aux bouleversements violents qui se sont produits dans ces deux pays voisins en 2011, la secrétaire d'Etat a souligné que pour les autres pays du Maghreb, dont l'Algérie, «ils n'ont pas vécu ces révolutions, mais ces événements récents ont testé leurs valeurs et leur détermination». L'Algérie, qui a déjà vécu son printemps il y a de cela près d'un quart de siècle, reste un modèle à suivre pour le restant des Etats arabes et musulmans. Clinton le pense forcément puisque même en revenant sur les élections législatives du 10 mai passé, elle en souligne la «transparence», attestée par le nombre impressionnant d'observateurs étrangers invités à venir les surveiller.
Tout porte à croire que la « lune de miel » qui caractérise les relations entre Alger et Washington a toutes les chances de durer encore pas mal de temps, au regard des points de vue identiques que développent les deux pays concernant plusieurs sujets d'importance. Ainsi donc, et après le soutien franc apporté par les USA aux actions menées par l'Algérie en vue de criminaliser le paiement de rançons aux groupes terroristes, Washington, par la voie de sa secrétaire d'Etat, Hillary Clinton, vient d'afficher son soutien, franc et entier, aux ultimes réformes mises sur rail par le président Bouteflika au lendemain des émeutes du sucre et de l'huile qui avaient secoué le pays. «L'Algérie a beaucoup à gagner en adoptant les changements qui s'opèrent autour d'elle, et nous avons constaté certains progrès», à travers les réformes engagées, a en effet souligné Hillary Clinton, ce vendredi à Washington. La chef de la diplomatie américaine a fait cette déclaration lors d'une allocution consacrée aux transitions démocratiques au Maghreb, prononcée au Think Tank américain Center for Strategic and International Studies (CSIS). Cela, sans oublier de rappeler le rôle de l'Algérie comme membre fondateur du Forum global de lutte contre le terrorisme (GCTF) lancé en septembre dernier à New York.
L'attitude US apporte également un bémol à la diplomatie algérienne, engagée dans un bras de fer dantesque contre la France, favorable à une intervention armée dans le nord du Mali, tombé aux mains des groupes terroristes d'AQMI (Al-Qaïda au Maghreb islamique) et du Mujao (Mouvement pour l'unicité et le jihad en Afrique de l'Ouest). Une pareille intervention, en effet, pourrait légitimer «l'appel au jihad» de ces groupes terroristes, comme cela s'était produit en Afghanistan, puis en Irak, générant au passage le chaos dans toute la bande sahélo-saharienne, sans épargner une bonne partie du grand Sud algérien. Car il ne faut pas perdre de vue que l'Algérie partage avec le Mali pas moins de 3.000 kilomètres de frontière. Elle fait également partie des pays du Champ, à savoir le Niger, la Mauritanie ainsi que le Mali.
Sur un tout autre chapitre, la secrétaire d'Etat américaine, s'est également félicitée du dispositif de sécurité déployé par les autorités algériennes à l'ambassade américaine à Alger suite aux violences connues par plusieurs pays musulmans en septembre dernier, au lendemain de la parution d'extraits d'un «film fantôme» attentatoire à l'Islam ainsi qu'au prophète Mohamed (QSSL). Tout en retraçant le processus démocratique entamé en Tunisie et en Libye suite aux bouleversements violents qui se sont produits dans ces deux pays voisins en 2011, la secrétaire d'Etat a souligné que pour les autres pays du Maghreb, dont l'Algérie, «ils n'ont pas vécu ces révolutions, mais ces événements récents ont testé leurs valeurs et leur détermination». L'Algérie, qui a déjà vécu son printemps il y a de cela près d'un quart de siècle, reste un modèle à suivre pour le restant des Etats arabes et musulmans. Clinton le pense forcément puisque même en revenant sur les élections législatives du 10 mai passé, elle en souligne la «transparence», attestée par le nombre impressionnant d'observateurs étrangers invités à venir les surveiller.


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