Algérie

Il a quitté officiellement le Ahly du Caire Sayoud : 'J'ai envie de vivre une expérience en Europe"



C'est désormais officiel, l'international espoir algérien, Amir Sayoud, ne fera plus partie de l'effectif du Ahly du Caire. L'entraîneur du club cairote, Hossem El-Badri, lui avait expliqué depuis quelques semaines déjà qu'il ne comptait pas sur lui et qu'il était préférable pour Sayoud de trouver un club preneur et vivre une nouvelle expérience ailleurs.
C'est ce qu'espère aussi le joueur. Sayoud mise sur une nouvelle aventure en Europe. d'ailleurs, il se trouve en Algérie depuis hier, où il a formulé une demande de visa pour rejoindre dans quelques jours le Portugal et négocier un probable transfert au club Maritimo (5e du championnat portugais la saison écoulée). 'Une fois rentré en Algérie, je vais demander un visa pour le Portugal, où je me rendrai dans les prochains jours pour rejoindre mon manager qui est déjà sur place afin de négocier avec Maritimo", a déclaré Sayoud au site Internet de la radio GoalFM, lundi dernier.
Après plusieurs années au sein du prestigieux club du Ahly, et quelques expériences au Koweït, à El-Ismaïlia et au Mouloudia d'Alger, la saison dernière sous forme de prêt, Amir Sayoud est tenté par une expérience en Europe.
C'est, en tout cas, ce que souhaite le joueur. 'Après plusieurs expériences avec des clubs arabes, entre l'Egypte, le Koweït et l'Algérie, j'aimerais bien découvrir d'autres sensations avec un club européen. j'espère pouvoir réaliser mon souhait, car j'ai d'autres ambitions personnelles que je veux bien atteindre."
Toutefois, le milieu de terrain de l'équipe nationale olympique se dit triste d'avoir quitté le Ahly : 'c'est un club que j'ai beaucoup aimé, j'ai vécu de très belles choses, que je n'oublierai jamais. J'ai passé de très bons moments avec le staff et les joueurs, et même le public qui m'a aimé. C'est dur pour moi. Mais il faut accepter le destin. Le monde du football est ainsi fait, il faut accepter certaines situations même si elles sont dures à vivre", souligne Amir Sayoud avant de conclure : 'Je ne me suis jamais senti comme un étranger au Caire, j'ai bu de l'eau du Nil, donc forcement je reviendrai un jour."
A. I.


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