Algérie

Histoires Etranges



Histoires Etranges
Résumé de la 1re partie n L'opératrice du poste de police l'informa que si l'homme téléphonait de nouveau, elle devrait tenter de le garder en ligne le plus longtemps possible afin que la police puisse retracer l'appel.Elle remarqua que l'homme avait un rire étouffé, comme s'il essayait de ne pas rire trop fort. Après un court instant qui lui parut une éternité, elle raccrocha le téléphone, perplexe. Presque immédiatement, le téléphone sonna de nouveau. Cette fois c'est le numéro du poste de police qui s'affichait, cela la rassura grandement.? Allo ! répondit-elle.? Sortez tout de suite de la maison ! semblait hurler sa correspondante. Sortez tout de suite, les appels proviennent du téléphone à l'étage !La jeune gardienne laissa tomber le téléphone avant de se précipiter à l'extérieur. À l'étage, de lourds pas se précipitèrent dans l'escalier en direction du rez-de-chaussée. Alors qu'elle refermait violemment la porte sans même regarder derrière, elle ressentit que la présence de l'homme arrivait rapidement sur elle. La jeune femme courait aussi vite qu'elle le put, allant jusqu'à rejoindre la route qui se trouvait à une bonne distance de la maison. Les premières voitures de police arrivèrent rapidement sur les lieux ainsi que d'autres véhicules d'urgence. Ce que les policiers découvrirent à l'étage n'était rien d'autre qu'un terrible massacre. Etendus dans leurs lits respectifs se trouvaient les corps inertes des enfants, qui furent égorgés dans leur sommeil. L'intrus s'était apparemment introduit pas une fenêtre du second étage et souhaitait que la jeune femme monte à l'étage afin d'y lui faire subir le même sort. Sur le lit de la chambre des maîtres fut découvert un couteau de chasse ensanglanté ainsi qu'une bien étrange sacoche contenant divers objets hétéroclites. Ils y trouvèrent du ruban adhésif, des sacs de plastique, de l'essence, un briquet ainsi qu'un tire-bouchon. La porte de derrière était restée grande ouverte et le mystérieux inconnu avait pris le large. Il avait eu suffisamment de temps pour disparaitre dans la nuit avant l'arrivée des policiers. Malgré les recherches, la police ne le retrouva jamais. Les gardiennes d'enfants sont les victimes d'un bien grand nombre de légendes urbaines, celle-ci étant l'une des plus populaires. Il existe d'ailleurs un grand nombre de versions de cette même légende et, comme beaucoup d'autres histoires d'adolescents du même type, les premières versions semblent apparaître tôt durant les années 1960. À cette époque le téléphone devenait de plus en plus commun dans les campagnes. Il est évident de comprendre pourquoi elle fut populaire, elle utilise l'insécurité provoquée par un adolescent qui prend des responsabilités importantes. La jeune adolescente n'est donc pas responsable uniquement de sa propre sécurité, mais surtout de celle des enfants (ce qu'elle échoue lamentablement dans ce cas-ci). Dans plusieurs versions de l'histoire, les enfants sont retrouvés morts à l'étage. Comme dans la plupart des bonnes légendes urbaines, le meurtrier court toujours. Qui sait, il est peut-être au deuxième étage de la résidence dans laquelle vous êtes présentement. Cette fin est classique dans les légendes urbaines et les bonnes histoires de peur à raconter autour du feu.?


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