Gare à la masse ! Sous la plume

Chaque année ça recommence et chaque année qui passe, les pannes ou les délestages vont crescendo. Non ! On ne s'améliore pas à la société de distribution d'électricité. Tenez-vous bien, on pousse même le bouchon en nous reprochant, nous communs des mortels, de nous moderniser en faisant l'acquisition de climatiseurs. Pour cette société étatique, nous devrions nous contenter de courant électrique tout juste pour nous éclairer en nous concédant tout juste un réfrigérateur. Mais la clim non ! C'est un luxe mal vu en ne manquant pas de donner des précisions sur des pics record de surconsommation électrique. Cependant, les chaleurs suffocantes et les coupures ont surchauffé les esprits des citoyens qui, dans bon nombre de wilayas sont sortis dans la rue. Après le temps du sucre et de l'huile voilà le temps des perturbations dans l'alimentation en électricité. Et s' il y a du gaz dans l'air, le chaudron de la poudrière électrique peut exploser à tout moment. Au lieu de faire endosser la responsabilité à ceux qui veulent un minimum de confort, il faudrait plutôt rechercher les causes au sein de cette entreprise dont les prestations laissent à désirer. Les pannes, délestages ou incidents, c'est selon, ne devraient jamais aller au-delà de deux heures de temps. Des communes comme Cherarba et Baraki pointent aux registres des coupures quotidiennes et prolongées qui durent parfois vingt quatre heures. Pour les commerçants de la ville, la Sonelgaz est leur bête noire. Chaque nuit , ils se tiennent le ventre et sont pressés d'ouvrir leur magasin pour constater les dégâts occasionnés par ces coupures intempestives. Idem pour les pharmaciens dont certains produits comme l'insuline et certains vaccins, mais Dame Sonelgaz n'y pense même pas. Après s'être vantée des réalisations durant les 50 ans d'indépendance, la société de distribution devrait, aujourd'hui, prendre à bras-le-corps le problème du déficit en production qui pousse, par mesure de facilité et à chaque canicule, l'entreprise à recourir au délestage pas toujours équitable.
Chaque année ça recommence et chaque année qui passe, les pannes ou les délestages vont crescendo. Non ! On ne s'améliore pas à la société de distribution d'électricité. Tenez-vous bien, on pousse même le bouchon en nous reprochant, nous communs des mortels, de nous moderniser en faisant l'acquisition de climatiseurs. Pour cette société étatique, nous devrions nous contenter de courant électrique tout juste pour nous éclairer en nous concédant tout juste un réfrigérateur. Mais la clim non ! C'est un luxe mal vu en ne manquant pas de donner des précisions sur des pics record de surconsommation électrique. Cependant, les chaleurs suffocantes et les coupures ont surchauffé les esprits des citoyens qui, dans bon nombre de wilayas sont sortis dans la rue. Après le temps du sucre et de l'huile voilà le temps des perturbations dans l'alimentation en électricité. Et s' il y a du gaz dans l'air, le chaudron de la poudrière électrique peut exploser à tout moment. Au lieu de faire endosser la responsabilité à ceux qui veulent un minimum de confort, il faudrait plutôt rechercher les causes au sein de cette entreprise dont les prestations laissent à désirer. Les pannes, délestages ou incidents, c'est selon, ne devraient jamais aller au-delà de deux heures de temps. Des communes comme Cherarba et Baraki pointent aux registres des coupures quotidiennes et prolongées qui durent parfois vingt quatre heures. Pour les commerçants de la ville, la Sonelgaz est leur bête noire. Chaque nuit , ils se tiennent le ventre et sont pressés d'ouvrir leur magasin pour constater les dégâts occasionnés par ces coupures intempestives. Idem pour les pharmaciens dont certains produits comme l'insuline et certains vaccins, mais Dame Sonelgaz n'y pense même pas. Après s'être vantée des réalisations durant les 50 ans d'indépendance, la société de distribution devrait, aujourd'hui, prendre à bras-le-corps le problème du déficit en production qui pousse, par mesure de facilité et à chaque canicule, l'entreprise à recourir au délestage pas toujours équitable.