Alors que le schéma de la renationalisation du complexe sidérurgique d'El-Hadjar semble retenu avec une prise de contrôle majoritaire par Sider et donc l'Etat algérien comme partenaire, les deux actionnaires font face, chacun de son côté, à des coups de boutoir de la part des salariés. Ainsi, le groupe Sider, qui semblait épargné jusqu'ici de la contestation sociale, a eu fort à faire pour désamorcer un mouvement de grève illimitée annoncé comme imminent par les travailleurs des filiales SGS, Hydrosid, Refractal, Hores et Codisid, qui lui appartiennent exclusivement.
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Posté Le : 09/06/2013
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : ALLIA Ahmed
Source : www.liberte-algerie.com