Algérie

Cheikha Rimiti revient cette semaine



Paris et Washington s’en souviennent La diva, la rebelle, la femme, la reine du rai, est revenue. Pas en Algérie, mais à Paris avec un hommage que lui a rendu l’Institut du Monde arabe, vendredi dernier, et aux Etats-Unis où le journal «The Washington Post» lui consacre, dans son numéro de dimanche en quinze, un article à sa dimension. Pour le rendez-vous de l’Institut du Monde arabe, c’est une soirée musicale organisée dans le cadre de la manifestation culturelle «La Méditerranée en Musique», ouverte en octobre dernier et qui se poursuivra jusqu’au mois de juin prochain. A l’occasion, Rabia la digne héritière du patrimoine musical de Cheikha Rimiti, a repris ses chansons. Quant au journal américain, l’évocation retrace les principales étapes de la vie de Cheikha Rimiti et l’auteur de l’article présente la diva comme une artiste libre et débarrassée des pesanteurs sociales. Les sujets qui revenaient dans les chansons de Cheikha Rimiti, rappelle le journaliste, sont «la misère, la sexualité, les ravages de la boisson, l’oppression et aussi l’Indépendance». Pour le public international, c’est la world music qui a fait découvrir Cheikha Rimiti dans les années 90. A la fin de l’article, le Washington Post cite son album ‘Sidi Mansour’ réalisé, en partie, dans des studios parisiens et ceux de Los Angeles, et sorti en 1994 avec des morceaux du guitariste américain Robert Fripp, des King Crimson, et de Flea, le bassiste du groupe Red hot chili peppers.
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