Algérie

Briser le mur de silence autour de la question sahraouie Ouverture de la 2e Conférence internationale, aujourd'hui, à Alger



Briser le mur de silence autour de la question sahraouie                                    Ouverture de la 2e Conférence internationale, aujourd'hui, à Alger
La deuxième Conférence internationale du «Droit des peuples à la résistance : le cas du peuple sahraoui», s'ouvre, aujourd'hui à Alger, en présence de plus de 300 participants, dont 100 étrangers et 100 Sahraouis. Il s'agit de personnalités politiques de tous bords, d'universitaires, d'intellectuels, de politologues, de juristes, de journalistes, d'artistes, de sportifs et de représentants de la société civile défenseurs de la cause sahraouie. Le Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), initiateur de la manifestation, vise deux objectifs majeurs à travers cette conférence internationale : briser l'embargo médiatique imposé sur la cause sahraouie, et prouver à l'opinion internationale, encore une fois, qu'il s'agit d'un problème de décolonisation auquel aspire le peuple sahraoui. En effet, la Conférence internationale d'Alger ambitionne de rassembler des personnalités du monde qui viendront réaffirmer à l'unisson le droit du peuple sahraoui à choisir librement son destin, et exiger de l'ONU l'application rapide des recommandations du Conseil de sécurité qui plaident, notamment, pour l'organisation d'un référendum transparent et loyal sous la supervision des Nations unies. Aussi, l'occasion sera-t-elle pour dénoncer les violations massives et répétées des droits de l'homme dans les territoires du Sahara occidental par l'administration d'occupation marocaine, lesquelles violations furent à maintes reprises constatées par des ONG et autres organismes internationaux à l'instar d'Human Rights Watch, Amnesty international et une commission ad hoc du Parlement européen. Les initiateurs de la Conférence d'Alger visent, également, à dénoncer la «spoliation systématique» des ressources naturelles du Sahara occidental par le Maroc, avec la complicité de l'Union européenne et certains pays occidentaux, de même que la position de la France qui «favorise injustement le Maroc» et bloque de la sorte toute issue favorable du conflit. En effet, la France est allée jusqu'à user de son droit de veto concernant le projet visant à confier à la Minurso la protection des droits de l'Homme dans les territoires occupés du Sahara occidental, selon les membres du CNASPS.
Il s'agit, en outre, d'exiger une assistance humanitaire efficace et multiforme en ce qui concerne les réfugiés sahraouis, dont l'aide a sensiblement baissé ces dernières années, somme toute une propagande mensongère et une diversion pratiquée par l'occupant marocain. Des communications pertinentes sont prévues durant les deux jours de la Conférence internationale d'Alger, des ateliers et des débats autour de la question sahraouie dans toute sa dimension.
La deuxième Conférence internationale du «Droit des peuples à la résistance : le cas du peuple sahraoui», s'ouvre, aujourd'hui à Alger, en présence de plus de 300 participants, dont 100 étrangers et 100 Sahraouis. Il s'agit de personnalités politiques de tous bords, d'universitaires, d'intellectuels, de politologues, de juristes, de journalistes, d'artistes, de sportifs et de représentants de la société civile défenseurs de la cause sahraouie. Le Comité national algérien de solidarité avec le peuple sahraoui (CNASPS), initiateur de la manifestation, vise deux objectifs majeurs à travers cette conférence internationale : briser l'embargo médiatique imposé sur la cause sahraouie, et prouver à l'opinion internationale, encore une fois, qu'il s'agit d'un problème de décolonisation auquel aspire le peuple sahraoui. En effet, la Conférence internationale d'Alger ambitionne de rassembler des personnalités du monde qui viendront réaffirmer à l'unisson le droit du peuple sahraoui à choisir librement son destin, et exiger de l'ONU l'application rapide des recommandations du Conseil de sécurité qui plaident, notamment, pour l'organisation d'un référendum transparent et loyal sous la supervision des Nations unies. Aussi, l'occasion sera-t-elle pour dénoncer les violations massives et répétées des droits de l'homme dans les territoires du Sahara occidental par l'administration d'occupation marocaine, lesquelles violations furent à maintes reprises constatées par des ONG et autres organismes internationaux à l'instar d'Human Rights Watch, Amnesty international et une commission ad hoc du Parlement européen. Les initiateurs de la Conférence d'Alger visent, également, à dénoncer la «spoliation systématique» des ressources naturelles du Sahara occidental par le Maroc, avec la complicité de l'Union européenne et certains pays occidentaux, de même que la position de la France qui «favorise injustement le Maroc» et bloque de la sorte toute issue favorable du conflit. En effet, la France est allée jusqu'à user de son droit de veto concernant le projet visant à confier à la Minurso la protection des droits de l'Homme dans les territoires occupés du Sahara occidental, selon les membres du CNASPS.
Il s'agit, en outre, d'exiger une assistance humanitaire efficace et multiforme en ce qui concerne les réfugiés sahraouis, dont l'aide a sensiblement baissé ces dernières années, somme toute une propagande mensongère et une diversion pratiquée par l'occupant marocain. Des communications pertinentes sont prévues durant les deux jours de la Conférence internationale d'Alger, des ateliers et des débats autour de la question sahraouie dans toute sa dimension.
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