ASO Chlef - Larbi Khobzaoui (Entraîneur des cadets)

«La stabilité est à l’origine de la réussite» Larbi Khobzaoui entraîne, actuellement, les cadets de l’ASO Chlef après avoir passé deux saisons à la tête des juniors. Avant de venir au grand club de la ville de Chlef, Larbi a passé plus de treize (13) ans au sein de l’ASC/NRBC où il s’est occupé de la formation des jeunes catégories. Son travail accès essentiellement sur la formation lui a permis de récolter plusieurs titres et de former un bon nombre de jeunes qui évoluent actuellement dans différentes équipes de paliers supérieurs. A quarante-six (46) ans il garde toujours sa forme. Avec son expérience dans le domaine footbalistique et son diplôme du 2ème degré, il fit sa rentrée au sein de l’ASO Chlef et marqua sa présence par son savoir-faire pour mettre sur pied durant la saison 2003/2004 une équipe, junior, compétitive qui remportera le titre de champion pour se voir éliminer aux quarts de finale de la coupe d’Algérie. C’était le réservoir où plusieurs équipes allaient puiser pour renforcer leur potentiel. Le technicien Larbi a bien voulu livrer ses impressions à «La voix de l’Oranie». Il dira : «Je remercie tout d’abord votre journal qui me permet de s’exprimer pour la première fois dans la presse écrite. Le football, en général, se trouve dans une phase très difficile et il reste beaucoup à faire pour revivre les belles périodes d’antan marquées par nos grands joueurs qu’ont été Belloumi, Madjer, Megharia pour ne citer que ceux-là. Au sein de l’ASO où j’exerce depuis de trois (03) saisons, tout le monde s’active pour faire soigneusement son travail. La stabilité des deux staffs, administratif et technique, est à l’origine de la réussite de tout ce qui se fait dans la maison de l’ASO Chlef. Avec un président de la trempe de Medouar, tout marche à merveille et la discipline est de rigueur. Personnellement, je suis très fier du groupe et les résultats sont là pour le confirmer. A la tête d’une équipe très jeune et disciplinée, je travaillerai jusqu’au bout de mes forces. Je souhaite longue vie à votre journal».   M. Mokhtari