Après un festival de mini-tennis réussi à ANNABA Un collège technique national à Chéraga

La Fédération algérienne de tennis (FAT) avait organisé conjointement avec la DJS de Annaba le festival mini-tennis qui avait eu lieu entre le 21 et le 24 décembre. Cette grande manifestation sportive avait enregistrée la participation de plus de 30 joueurs dont la tranche d'âge est située entre 4 et 7 ans. Ces enfants sont venus des quatre coins du pays pour participer à ce tournoi. Chez les garçons, le dernier mot est revenu à Khenouf Hassen (joueur du CFTS Tabacop) qui a reporté l'épreuve alors que la deuxième place à Moulahim Abderahim (Constantine). Chez les filles, Zitouni Feriel (Oran) a dominé la compétition en s'adjugeant la première place alors que Oulebrir Imène (Boumerdès) s'est contentée de la seconde place du podium. Le festival du mini-tennis de Annaba a été, de l'avis de tous, une totale réussite auquel un technicien algérien, résidant en France, Aït Mehdi Amokrane s'est joint. Force est de reconnaître que son apport a été bénéfique sur le plan technique. Par ailleurs, la FAT a eu une fin d'année assez active. Comme chaque année, elle réunit les techniciens et les dirigeants pour mettre en place le programme annuel. Le plan d'action 2012 a donc été débattu durant 2 jours par les représentants de toutes les régions du pays. Cela s'est passé à la fin du mois de décembre. Le nouveau directeur technique national, Bassem Douhest était très satisfait du déroulement de ce collège national. 'Je ne vous cache pas que je suis content et satisfait de l'adhésion de tous à notre demande dans un objectif de sérénité, de promotion et de développement notre discipline', a-t-il déclaré. Et d'ajouter : 'Différentes actions et réalisations ont été discutées, des décisions ont été prises pour faire évoluer ce qui a été déjà fait. Nous nous sommes entendus pour améliorer encore les conditions de pratique du tennis à tous les niveaux et pour toutes les catégories. Un travail de fond a été fait et continue de l'être, nous sommes sur la bonne voie, soyons patients !' conclut-il.
R. S.