Saïda
Un cas de fièvre typhoïde déclaré Le service de gastro-entérologie du centre hospitalier Ahmed Médeghri de Saïda vient d?enregistrer un cas de fièvre typhoïde contracté par une jeune fille de 15 ans habitant au quartier Daoudi Moussa.Cette dernière aurait, selon les résultats des analyses médicales, consommé une eau impropre à la consommation. La victime est gardée en observation médicale. Par ailleurs, 10 personnes âgées de 8 à 26 ans auraient été victimes d?une intoxication alimentaire provoquée par la consommation de gâteaux préparés à l?occasion de la fête de l?Aïd El Fitr. D?autre part, il a été enregistré, au niveau des services des UMC de cette même structure, l?admission de plusieurs dizaines de malades souffrant de lésions pulmonaires et d?accès de dyspnée expiratoire (asthme) devenues aiguës sous l?effet de la vague de froid qui s?est abattue, ces derniers jours, sur la région. Les médecins, nous apprend-on, se sont vus limités à administrer seulement les premiers soins d?urgence faute de médicaments. L?attente d?un droit qui s?éternise Jamais un corps de formateurs de l?éducation, comme celui en exercice à l?IFCE (ex-ITE Ahmed Médeghri de Saïda), ne s?est senti autant lésé par la non-application du décret exécutif n° 330/95 et daté du 25/10/95, jugé discriminatoire, relatif à l?octroi de la prime de 10% à tous les PES sans exception. Ces enseignants formateurs qui s?étaient vus exclure du bénéfice de ladite prime, sont en réalité des PES nommés par décret ou décision, désignés par nécessité de service à assurer un encadrement aux enseignants formateurs (MEF-PEF) au niveau départemental et régional, donc dispensant une formation sans aucune espèce de statut particulier, tiennent-ils à préciser.
Posté Le : 22/11/2004
Posté par : sofiane
Ecrit par : C. E.
Source : www.elwatan.com