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Le casse-tête des médecins spécialistes



Le ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire, Salah Eddine Dahmoune, a souligné jeudi à Skikda, l'importance de doter les régions du Sud et des Hauts-plateaux en médecins spécialistes, d'y ouvrir des polycliniques 24 heures sur 24 et de mettre en place des permanences.Le ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire, Salah Eddine Dahmoune, a souligné jeudi à Skikda, l'importance de doter les régions du Sud et des Hauts-plateaux en médecins spécialistes, d'y ouvrir des polycliniques 24 heures sur 24 et de mettre en place des permanences.
Lors de l'inauguration d'une polyclinique dans le village de Bir Farina,dans la commune de Azzaba, investissementayant mobilisé un montant de 62millions DA, le ministre a souligné lanécessité de désigner des généralistes, deschirurgiens-dentistes et des radiologues,dans le cadre de la politique de la réformehospitalière.
Il a annoncé, à cet effet, qu'un Conseil de gouvernement sera "prochainement"tenu, pour étudier le problèmede manque de médecins spécialistesdans les régions du Sud et des Hauts-plateaux.Le ministre a relevé, à ce propos, que ledéficit en spécialistes en gynécologie obstétriquecontraint les femmes enceintes, àparcourir de très longues distances pouraccoucher, occasionnant parfois leur décèsen route. Les autorités publiques accordentla priorité à cette préoccupation, a souligné le ministre, en relevant que la formation des médecins spécialistes n'est pas chose aisée, car nécessitant entre 4 et 5ans.
"Le gouvernement prendra les mesures qui s'imposent, pour solutionnerdéfinitivement le problème de manque de médecins spécialistes et de paramédicaux,dans le Sud et les Hauts- plateaux", s'estilengagé, annonçant que le ministère de la Santé se prépare à la mise en oeuvre du nouveau code de la santé. Une autre priorité est la hiérarchisation des soins qui doit commencer au niveau des polycliniques et des centres sanitaires, avant l'orientation des cas compliqués vers les centres hospitalo-universitaires, de à alléger la pression sur les CHU, at- il relevé, estimant que 70 % des problèmes de santé peuvent être pris en charge par les centres sanitaires de proximité.
La wilaya de Skikda compte 24 polycliniques,23 salles de soins et 12 établissementshospitaliers, selon un exposé dudirecteur de la Santé présenté à l'occasion, et dans lequel il a insisté sur la formation de plus de sages-femmes et de techniciens de laboratoire, estimant que l'on ne saura parler de réforme du système sanitaire sans l'élimination des comportements pervers,dont le clientélisme. Le ministre de l'Intérieur devait, au cours de sa visite de travail, faire également lepoint sur le développement de la wilaya et écouter les préoccupations de citoyens
Lors de l'inauguration d'une polyclinique dans le village de Bir Farina,dans la commune de Azzaba, investissementayant mobilisé un montant de 62millions DA, le ministre a souligné lanécessité de désigner des généralistes, deschirurgiens-dentistes et des radiologues,dans le cadre de la politique de la réformehospitalière.
Il a annoncé, à cet effet, qu'un Conseil de gouvernement sera "prochainement"tenu, pour étudier le problèmede manque de médecins spécialistesdans les régions du Sud et des Hauts-plateaux.Le ministre a relevé, à ce propos, que ledéficit en spécialistes en gynécologie obstétriquecontraint les femmes enceintes, àparcourir de très longues distances pouraccoucher, occasionnant parfois leur décèsen route. Les autorités publiques accordentla priorité à cette préoccupation, a souligné le ministre, en relevant que la formation des médecins spécialistes n'est pas chose aisée, car nécessitant entre 4 et 5ans.
"Le gouvernement prendra les mesures qui s'imposent, pour solutionnerdéfinitivement le problème de manque de médecins spécialistes et de paramédicaux,dans le Sud et les Hauts- plateaux", s'estilengagé, annonçant que le ministère de la Santé se prépare à la mise en oeuvre du nouveau code de la santé. Une autre priorité est la hiérarchisation des soins qui doit commencer au niveau des polycliniques et des centres sanitaires, avant l'orientation des cas compliqués vers les centres hospitalo-universitaires, de à alléger la pression sur les CHU, at- il relevé, estimant que 70 % des problèmes de santé peuvent être pris en charge par les centres sanitaires de proximité.
La wilaya de Skikda compte 24 polycliniques,23 salles de soins et 12 établissementshospitaliers, selon un exposé dudirecteur de la Santé présenté à l'occasion, et dans lequel il a insisté sur la formation de plus de sages-femmes et de techniciens de laboratoire, estimant que l'on ne saura parler de réforme du système sanitaire sans l'élimination des comportements pervers,dont le clientélisme. Le ministre de l'Intérieur devait, au cours de sa visite de travail, faire également lepoint sur le développement de la wilaya et écouter les préoccupations de citoyens



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