Algérie - A la une


Le championnat de Ligue 1 Mobilis de football 2017-2018, clôturé samedi, n'a pas été différent des précédents en matière de valse des entraîneurs: pas moins de 10 clubs sur les 16 composant la palier supérieur ont connu des changements.A l'instar de l'exercice précédent, la majorité des clubs de l'élite a connu une instabilité criarde au niveau de leur encadrement technique, ce qui s'est répercuté sur leurs résultats à l'image de l'ES Sétif, champion sortant, qui a bouclé la saison à une triste 8e place au classement avec, en prime, la succession de trois techniciens. Les clubs «bons élevés» qui ont évité le phénomène sont le CS Constantine (champion), l'USM Bel-Abbès (détenteur de la coupe d'Algérie), le MC Alger, le Paradou AC, le MC Oran et l'Olympique Médéa.
La JS Saoura, vice-championne d'Algérie, a enregistré le départ de l'entraîneur Fouad Bouali en janvier dernier, remplacé par Karim Khouda qui a assuré l'intérim puis en mars par l'ancien entraîneur-adjoint de l'Equipe nationale, Nabil Neghiz.
Un changement «en douceur» qui n'a pas affecté le club de Béchar, lequel reste sur une série de 6 victoires de rang. Le record est détenu par le DRB Tadjenanet qui a consommé trois entraîneurs: François Bracci, Kamel Mouassa et Omar Belatoui, avant de confier la barre technique en février dernier au Tunisien Hamadi Edou qui va mener le Difaâ vers le maintien. Le trio relégable (US Biskra, USM El-Harrach et USM Blida) a fait également les frais de l'instabilité du staff technique qui s'est avérée fatale pour l'avenir de ces équipes en Ligue 1.
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)