Algérie - Autres colons

L’ombre qui dicte ses lois, à l’homme qui rit en pleurant,


L’ombre qui dicte ses lois, à l’homme qui rit en pleurant,
Azul Felawen

La Confiance qui a trahi la Vérité L’ombre qui dicte ses lois, à l’homme qui rit en pleurant, Qui est à la recherche de ses racines dispersées, emportées par le courant. Par ses larmes il fait raisonner les montagnes de tristesse, Par son sourire l’ombre lui fait une promesse. Le jour où tu seras dans le noir, je deviendrais tes racines, Nous serons ensemble, toi et moi, dans un jardin sublime. L’homme dit à l’ombre : si tu es mes racines, parles moi de mes ancêtres, D’où viennent-ils et pourquoi je ne suis pas leur bien-être. L’ombre réplique : moi, je suis ta lumière et le mystère de ton courage. Si tu ne crois pas en moi, dans l’au-delà tu seras enfermé dans une cage, L’homme, par instinct et amour maternel, Demanda à l’ombre : Qu’es-tu donc sans la lumière du ciel ? L’ombre ne sait que dire elle durcit ses lois, Devant la Vérité, elle n’a guère le choix. Là l’homme comprit que ses racines sont son avenir, Sans elles il ne serait qu’un esclave condamner à souffrir. Mokrane Aït lounes

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