Algérie - Théâtre

Jijel, Loisirs et divertissements, Rires et sourires




Le Théâtre de verdure du camp de Bordj Blida (ex-Andreux) dans la commune d’El Aouana (wilaya de Jijel) vivra du 19 au 23 août au rythme des représentations théâtrales qui seront organisées par l’association El Wafa en collaboration avec la direction de la culture.

Plusieurs troupes et monologues venant de plusieurs wilayas se succéderont sur les planches tout au long de ces cinq journées du monologue et du rire. Le début du programme dans le splendide site de Bordj Blida reviendra à la troupe de l’association Afak de Batna avec la pièce Le retour de Houlakou. Lors de la seconde soirée, deux monologues Lalla Fatma de Addas Asmahane (Guelma) et Bouzid Ennas de Mourad Saouli (Sétif) seront présentés. Chich Matadhakch, la pièce de l’association Ibda Fenni de Batna meublera la troisième journée suivie par le monologue Le camp des loups de Farid Merimeche (Jijel). Les hôtes du sénateur, pièce de l’association culturelle de Chlef, sera au menu de la quatrième soirée avant de vider les planches pour laisser le monologue Djemal Tebibel (Jijel) dévoiler Omar El Afia. L’ultime sortie de ces journées du monologue et du rire sera bouclée par un habitué de ces manifestations dans la wilaya de Jijel qui présentera 100% redjla. Il s’agit bien sûr du monologue sétifien Lamri Kaouane. Un florilège magique Le cirque italien Il Florilegio est depuis lundi dernier et jusqu’au 25 de ce mois à Jijel pour égayer les spectateurs tout au long des deux séances programmées chaque jour. Le moins que l’on puisse dire, est qu’un cirque reste toujours une machine magique ! Tout Jijel ne parle depuis quelques jours que du cirque, tantôt pour relever la prouesse des organisateurs de dresser le chapiteau en 24 heures ou encore à propos des prix de la billetterie qui varient de 150 à 800 DA, diversement appréciée. La première séance pour une population qui n’a plus revu de cirque sur place depuis 30 ans, était assurément un régal. Voire les choses grandeur nature, reste une véritable délectation. Acrobates, trapézistes, équilibristes et autres animaux (chevaux, poneys, autruches, oies..) ont laissé les spectateurs dans un réel émerveillement, alors que les enfants ne demandaient quà revenir. Il faut dire que bien qu’un hippopotame et des tigres aient été ramenés, ils n’ont pas été présentés lors des premières séances. Max Togni, le responsable du cirque, qui compte 36 membres de sa famille, nous assurera que l’année prochaine il y aura plus d’animaux. Il précisera que le cirque est avant tout une affaire de famille avant d’ajouter : « On est né dans le cirque ». Parlant de l’organisation, il affirmera que le cirque est comme un bateau, s’il coule c’est tout le monde qui part avec. Et de conclure que « chacun doit faire quelque chose ». L’espoir premier de M. Togni reste de satisfaire le public pour pouvoir y revenir. Chapeauté par l’Eurl Cirque Amar, créée pour gérer ce cirque en Algérie, Il Florilegio bénéficie, outre les autorités locales, du soutien de sponsor tels que Sonatrach, Sonelgaz, Nedjma et Loya.


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