Algérie - A la une

Imposantes manifestations



Comme attendu, les Algériens sont sortis dans la rue pourmanifester et dire haut et fortleur inébranlable volonté en faveur du changement.Comme attendu, les Algériens sont sortis dans la rue pourmanifester et dire haut et fortleur inébranlable volonté en faveur du changement.
AAlger, la capitale, dans les grandes villes du pays et même les moinsgrandes, des centaines de milliersd'Algériens ont investi les rues et les boulevards. Ces manifestations grandiosessont les quatrièmes, après celles de 22février et des 1er et 8 mars derniers. C'estdésormais devenu une tradition, tant chaque vendredi le décor est le même. Maishier, de l'avis unanime de tous les observateurs,
il y'avait nettement plus demonde dans les rues. D'une seule voix, cescentaines de milliers ont dit clairementnon, à la feuille de route proposée par leprésident de la République AbdelazizBouteflika, lors de son adresse à la nationlundi dernier. Ce jour là et au lendemain deson retour de Genève où il a subi durantquinze jours, des examens médicaux périodiques,le chef de l'Etat a annoncé unesérie de mesures, dont la plus importanteconsistait en le retrait de sa candidature pour un cinquième mandat, tant décrié.
Parla même, il a procédé au report de l'élection présidentielle qui était prévue pour le18 avril. Le président Bouteflika a aussidéroulé une feuille de route, dans laquelleune période de transition et l'organisationd'une Conférence nationale inclusive. Etc'est à cette Conférence nationalequ'échoira la prérogative d'élaborer une nouvelle Constitution consacrée à l'avènementd'une nouvelle République. L'élection présidentielle sera par la suiteorganisée par un gouvernement de compétences. Et ce n'est qu'à l'issue de l'élection d'un nouveau président, que Bouteflikaquittera le pouvoir. C'est donc ces propositions qui ont été rejetées hier par lesmanifestants.
A Alger, les principalesplaces traditionnelles étaient totalementoccupées par les manifestants qui se sontainsi prononcés contre la prolongation dumandat du président de la République quiexpirera, pour rappel, le 18 avril ou le 28du mois d'avril. Les places MauriceAudin, 1er mai et la Grande Poste étaient,en effet, noies de monde. Les manifestantsscandaient des slogans hostiles auxpropositions du président Bouteflika, etbrandissaient des pancartes et des banderoles sur lesquelles figuraient de nouveaux slogans hostiles également à Nouredine Bedoui et Ramtane Lamamr,a désignés pour former un nouveau gouvernement, après la démission d'Ahmed Ouyahia. Dans toutes les villes du pays, les Algériens sont sortis manifester en grandnombre. Des manifestations qui se sontdéroulées dans une ambiance festive, dansle calme et la convivialité. A Oran ,Setif,Tizi-Ouzou, Annaba,Mostaganem, Ouargla et Bechar, ce sont les mêmes images. Autant dire, que d'esten ouest, et du nord au sud, c'est le mêmescénario.
Les femmes, comme les foispassées, étaient présentes en grand nombre. Des familles entières ont participé cesmanifestations et leur nombre était beaucoupplus grand que celui du vendredi 8 mars. Les manifestants, drapés de l'emblèmenational, ont répondu massivementà l'appel lancé via les réseaux sociaux,pour chanter l'Hymne national dans uneferveur et une grande communion.
AAlger, la capitale, dans les grandes villes du pays et même les moinsgrandes, des centaines de milliersd'Algériens ont investi les rues et les boulevards. Ces manifestations grandiosessont les quatrièmes, après celles de 22février et des 1er et 8 mars derniers. C'estdésormais devenu une tradition, tant chaque vendredi le décor est le même. Maishier, de l'avis unanime de tous les observateurs,
il y'avait nettement plus demonde dans les rues. D'une seule voix, cescentaines de milliers ont dit clairementnon, à la feuille de route proposée par leprésident de la République AbdelazizBouteflika, lors de son adresse à la nationlundi dernier. Ce jour là et au lendemain deson retour de Genève où il a subi durantquinze jours, des examens médicaux périodiques,le chef de l'Etat a annoncé unesérie de mesures, dont la plus importanteconsistait en le retrait de sa candidature pour un cinquième mandat, tant décrié.
Parla même, il a procédé au report de l'élection présidentielle qui était prévue pour le18 avril. Le président Bouteflika a aussidéroulé une feuille de route, dans laquelleune période de transition et l'organisationd'une Conférence nationale inclusive. Etc'est à cette Conférence nationalequ'échoira la prérogative d'élaborer une nouvelle Constitution consacrée à l'avènementd'une nouvelle République. L'élection présidentielle sera par la suiteorganisée par un gouvernement de compétences. Et ce n'est qu'à l'issue de l'élection d'un nouveau président, que Bouteflikaquittera le pouvoir. C'est donc ces propositions qui ont été rejetées hier par lesmanifestants.
A Alger, les principalesplaces traditionnelles étaient totalementoccupées par les manifestants qui se sontainsi prononcés contre la prolongation dumandat du président de la République quiexpirera, pour rappel, le 18 avril ou le 28du mois d'avril. Les places MauriceAudin, 1er mai et la Grande Poste étaient,en effet, noies de monde. Les manifestantsscandaient des slogans hostiles auxpropositions du président Bouteflika, etbrandissaient des pancartes et des banderoles sur lesquelles figuraient de nouveaux slogans hostiles également à Nouredine Bedoui et Ramtane Lamamr,a désignés pour former un nouveau gouvernement, après la démission d'Ahmed Ouyahia. Dans toutes les villes du pays, les Algériens sont sortis manifester en grandnombre. Des manifestations qui se sontdéroulées dans une ambiance festive, dansle calme et la convivialité. A Oran ,Setif,Tizi-Ouzou, Annaba,Mostaganem, Ouargla et Bechar, ce sont les mêmes images. Autant dire, que d'esten ouest, et du nord au sud, c'est le mêmescénario.
Les femmes, comme les foispassées, étaient présentes en grand nombre. Des familles entières ont participé cesmanifestations et leur nombre était beaucoupplus grand que celui du vendredi 8 mars. Les manifestants, drapés de l'emblèmenational, ont répondu massivementà l'appel lancé via les réseaux sociaux,pour chanter l'Hymne national dans uneferveur et une grande communion.
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