Tlemcen - A la une

Le mur des Algériens


Info pour les normalisateurs, un historien palestinien vient de rappeler que le Mur des Lamentations de Jérusalem a été offert par Salah-Eddine Al Ayoubi aux Maghrébins, dirigés par l'Algérien Sidi Boumediene Al Ghaouth, après la bataille de Hattin, qui a eu lieu en 1187 près du lac de Tibériade, qui les avait opposés aux armées chrétiennes de Jérusalem.Sidi Boumediene, saint patron de Tlemcen, poète et maître soufi, perd une main dans la bataille mais gagne une récompense, Hay Al Magharibiyah, qui comprend une mosquée et une zaouïa pour accueillir les pèlerins du Maghreb, ainsi que le Mur des Lamentations, soutènement du quartier ouvert sur la porte des Maghrébins, qui existe encore et paradoxalement située à l'angle sud-est de la vieille ville, porte la plus proche du Mur des Lamentations, lieu le plus sacré pour les juifs. Si pour les musulmans, c'est auprès de ce mur que se gare le cheval ailé Al Bouraq lors de son voyage de La Mecque à Jérusalem avec l'archange Jibril, l'histoire dit que même la Société des nations, qui allait devenir l'ONU, a confirmé le 30 juin 1930 que le mur en question est une donation faite à perpétuité par Salah-Eddine Al Ayoubi à Sidi Boumediene Al Ghaouth, résolution validée peu après par la justice britannique.
Le mur des Algériens ' En réalité, il n'appartient ni aux Algériens, ni aux Israéliens, ni aux Palestiniens, puisqu'il est admis par les historiens, archéologues et religieux juifs qu'avant la prise de Jérusalem par le roi David vers 1000 ans av. J.-C., Dieu ordonnant à plusieurs reprises la destruction des Cananéens (Nombres 21:2-3, Deutéronome 20:17), il y avait déjà quelqu'un sur place. Les Cananéens justement, présents depuis 2000 ans av. J.-C. et qui ont fondé Jérusalem, des proto-Phéniciens que l'ONU et l'histoire ont oubliés. On peut conclure ainsi, en attendant que la Tunisie normalise à son tour, Israël et la Palestine appartiennent au Liban et le Mur des Lamentations de Jérusalem aux Algériens. Rendez-vous aux Domaines, rue Charras.
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