Azul Felawen, Villejuif dans le 94, le 05 10 2013 à 2h du matin
après mon voyage dans ce beau pays Algérie que j’aime, je suis revenu avec un cœur triste, pour soulager ma souffrance la seule chose qui me reste c’est d’exprimer cette souffrance par écrit, depuis que j’ai commencé à écrire je me suis aperçu que même si nos ancêtres n’ont pas laissé d’écrits, ils nous ont légué beaucoup de proverbe et de citations. Chacun d’eux est un manuscrit, dans voici un premier proverbe qui reflète la situation vécue par le peuple aujourd’hui. Ce proverbe dit : « le jour où la morale sera l’esclave de la conscience ce jour là, le cœur est le cerveau deviendront ennemis.
Le fleuve est la misère
Absent de la raison j’ose tirer les cartes,
Sur l’avenir de la patrie en falsifiant les dates,
Avec un masque de mensonge en planifiant mes actes,
Faut il croire que j’ai vendu mon âme, ou que j’ais signé avec le diable un pacte,
Que reste-t-il de la morale, veuve de la conscience
Que la chair abandonnée face à sa souffrance
Dites-moi Madame Monsieur où est passée la raison,
On accuse le peuple d’être coupable d’avoir détruit sa maison,
Voici un proverbe qui montre qu’un peuple est comme un fleuve d’eau pure,
Si on met le fleuve dans un verger, il donnera des fleurs et de bons fruits,
Mais si on le jette à la mer, il sera perdu et noyé à jamais.
Mokrane Ait Lounes
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Posté par : MOKRANE-AIT-LOUNES
Ecrit par : MOKRANE AIT LOUNES
Source : Que reste-t-il de la morale, veuve de la conscience