La commune de Sidi Ahmed investit dans
l'énergie solaire pour fixer les populations de cette zone steppique, à défaut
d'électrification. Les mouvements et déplacements, dus à la transhumance, ne
permettent pas des projets fixes et c'est pourquoi l'APC a choisi l'énergie
solaire dans une région où la clarté divine éclaire près de 300 jours par an.
L'énergie du futur a déjà donné pleine satisfaction à Saïda où la direction de
l'environnement utilise deux panneaux pour éclairer le jardin public de Oued
El-Oukrif, «une expérience publique fructueuse et encourageante en attendant de
nouveaux projets», est-il avancé.
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Posté par : sofiane
Ecrit par : A K
Source : www.lequotidien-oran.com