Oran - Bethioua

Plainte contre le maire de Bethioua


Plainte contre le maire de Bethioua
Dans sa plainte remise au procureur de la République près le tribunal d'Arzew, le bénéficiaire, M. K., dénonce le refus du maire et le qualifie d'abus de pouvoir.L'affaire du dossier de l'habitat rural de Granine (commune de Bethioua) vient de prendre une autre tournure. En effet, un bénéficiaire, parmi les 60 concernés par l'opération, a déposé une plainte contre le maire de Bethioua suite au refus de ce dernier de lui accorder la subvention de 700 000 DA, aide de l'état assurée par la CNL.Dans sa plainte remise au procureur de la République près le tribunal d'Arzew, le bénéficiaire M. K. dénonce le refus du maire et le qualifie d'abus de pouvoir. Contacté par téléphone, le P/APC déclare : "La parcelle de terrain où le bénéficiaire veut réaliser son habitation appartient à un projet de réalisation de 90 logements sociaux. Du coup, je ne peux approuver le dossier. Mais je vais consulter le chef de la daïra de Bethioua pour trouver une solution." La victime répondra : "C'est faux ! Le P/APC m'a délivré un permis de construire sous le n°178/2014, daté du 19/11/2014, après le dépôt d'un dossier en béton pour la construction d'une habitation rurale en RDC. Aujourd'hui, ma parcelle est convoitée par d'autres. Le maire a accordé l'aide de l'état à 59 bénéficiaires sauf moi, un pauvre malheureux. Il m'oblige à me désister pour accaparer la parcelle." Indigné, il ajoutera qu'"après avoir interpellé le wali d'Oran, le ministre de l'Intérieur, le Premier ministre, je viens de lancer un SOS au président de la République". Pour lui, il est dans son droit, puisque, explique-t-il, "pour obtenir un permis de construire, il faut avoir un terrain. Alors, pourquoi le P/APC ne veut pas annuler le permis de construire et me signifier le refus par écrit pour pouvoir entamer un recours en justice ' Il est en train de me berner, car les délais des documents (permis de construire, octroi de la subvention...) sont limités dans le temps". "Je subis une injustice flagrante, et après 5 mois de va-et-vient chez lui, le dossier stagne. Bientôt la justice tranchera", conclut M. K..N. B.




Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Nom & prénom
email : *
Ville *
Pays : *
Profession :
Message : *
(Les champs * sont obligatores)