Connaissez-vous le sceau des prophètes '

''Dis : en vérité, ma prière, mes actes de dévotion, ma vie et ma mort sont voués à Dieu, le Seigneur de l'Univers. A Lui nul associé'' (Sourate El an'Am)
Comme chacun doit le savoir, les calomniés qui pleuvent sur la personne de Mohammed (que la bénédiction de Dieu et le salut soient sur lui) et sur le Coran, ne datent pas d'aujourd'hui. Déjà pendant et juste après l'avènement de l'Islam, des langues pendantes et fourchues se sont déliées pour attaquer, calomnier et dénigrer, tout ce qui est révélé par la nouvelle religion.
Le Saint Coran et Mohammed étaient mis en ligne de mire dès les premières manifestations du message divin et les incrédules, ne tarissaient pas d'imaginations profanes. Déjà à cette époque on inventait sur la personne du Messager, toutes sortes de mensonges et d'opprobres, avant de passer à la tentation, dans le but unique de le détourner de la voie qui lui est tracée.
Par orgueil, par vanité, par méchanceté gratuite, ou simplement par mépris, des gens se sont attaqués par des procédés indignes et indécents à la personne du messager de Dieu. L'outrecuidance les a poussée jusqu'à attenter à sa vie privée, dans le but de le pourfendre et de le jeter en pâture à la vindicte populaire.
Malgré tous ces dépassements, on aura remarqué que de son vivant, il n'a jamais condamné ne serait-ce qu'un de ses détracteurs, au contraire, au lieu de les juger et de leur faire payer leur arrogance et leur ignominie, il priait pour eux, exhortant le Seigneur à leur pardonner et leur montrer le droit chemin.
Même les non musulmans parmi eux, Dieu sait qu'ils sont nombreux, n'ont jamais été inquiétés sur le faite qu'ils le calomniaient, il vivait au dessus de toutes ces considérations purement mondaines en abandonnant son sort toujours à Dieu. L'histoire nous enseigne que tous les gens qui l'ont défendu, ou qui ont rétablis la vérité à sa place, n'ont jamais été sollicités pour le faire, sinon qu'ils ont agi de leur propre chef, ou simplement parce qu'ils ne supportaient pas l'injustice.
Du vivant du prophète, un de ces défenseurs attitrés, fut incontestablement le grand poète Hessan Ibnou Thabet qui, excédé par tant de méchancetés et d'agressivités à l'égard de l'envoyé de Dieu, décida de se porter volontaire pour le défendre. Il va le défendre non pas avec les armes ou tout autre équipement du genre, mais avec sa parfaite maitrise du verbe et l'éloquence littéraire qu'il affectionnait à merveille.
Certes il ne répondait pas par la méchanceté ni par l'agressivité mais il était plus subtile dans ses propos. Il utilisait la finesse poétique et la sagesse du terroir, ce qui força ses ennemis les plus acharnés, à lui reconnaitre incontestablement sa prédominance.
Faut-il peut-être le rappeler qu'à cette époque, la maitrise du verbe valait son pesant d'or et la période des odes est encore fraiche dans tous les esprits. Une phase sublime de la vie bédouine, ou la poésie arabe était à son summum.
''Dis : en vérité, ma prière, mes actes de dévotion, ma vie et ma mort sont voués à Dieu, le Seigneur de l'Univers. A Lui nul associé'' (Sourate El an'Am)
Comme chacun doit le savoir, les calomniés qui pleuvent sur la personne de Mohammed (que la bénédiction de Dieu et le salut soient sur lui) et sur le Coran, ne datent pas d'aujourd'hui. Déjà pendant et juste après l'avènement de l'Islam, des langues pendantes et fourchues se sont déliées pour attaquer, calomnier et dénigrer, tout ce qui est révélé par la nouvelle religion.
Le Saint Coran et Mohammed étaient mis en ligne de mire dès les premières manifestations du message divin et les incrédules, ne tarissaient pas d'imaginations profanes. Déjà à cette époque on inventait sur la personne du Messager, toutes sortes de mensonges et d'opprobres, avant de passer à la tentation, dans le but unique de le détourner de la voie qui lui est tracée.
Par orgueil, par vanité, par méchanceté gratuite, ou simplement par mépris, des gens se sont attaqués par des procédés indignes et indécents à la personne du messager de Dieu. L'outrecuidance les a poussée jusqu'à attenter à sa vie privée, dans le but de le pourfendre et de le jeter en pâture à la vindicte populaire.
Malgré tous ces dépassements, on aura remarqué que de son vivant, il n'a jamais condamné ne serait-ce qu'un de ses détracteurs, au contraire, au lieu de les juger et de leur faire payer leur arrogance et leur ignominie, il priait pour eux, exhortant le Seigneur à leur pardonner et leur montrer le droit chemin.
Même les non musulmans parmi eux, Dieu sait qu'ils sont nombreux, n'ont jamais été inquiétés sur le faite qu'ils le calomniaient, il vivait au dessus de toutes ces considérations purement mondaines en abandonnant son sort toujours à Dieu. L'histoire nous enseigne que tous les gens qui l'ont défendu, ou qui ont rétablis la vérité à sa place, n'ont jamais été sollicités pour le faire, sinon qu'ils ont agi de leur propre chef, ou simplement parce qu'ils ne supportaient pas l'injustice.
Du vivant du prophète, un de ces défenseurs attitrés, fut incontestablement le grand poète Hessan Ibnou Thabet qui, excédé par tant de méchancetés et d'agressivités à l'égard de l'envoyé de Dieu, décida de se porter volontaire pour le défendre. Il va le défendre non pas avec les armes ou tout autre équipement du genre, mais avec sa parfaite maitrise du verbe et l'éloquence littéraire qu'il affectionnait à merveille.
Certes il ne répondait pas par la méchanceté ni par l'agressivité mais il était plus subtile dans ses propos. Il utilisait la finesse poétique et la sagesse du terroir, ce qui força ses ennemis les plus acharnés, à lui reconnaitre incontestablement sa prédominance.
Faut-il peut-être le rappeler qu'à cette époque, la maitrise du verbe valait son pesant d'or et la période des odes est encore fraiche dans tous les esprits. Une phase sublime de la vie bédouine, ou la poésie arabe était à son summum.