Oran - Arabo-musulmans



bethioua


les anciens champs de melons et de pasteques ainsi que des vignobles a perte de vue ...tel etait l'emplacement des actuels complexes gnl 1 et gnl 2






mon père,mon hero.cet homme au grand coeur.il etait toujour la et pour tout le monde.il etait toujour present quand on avais besoin de lui.il etait la pour sa famille, il etait la pour les autre.et surtout il etait la pour les gens demunis et les gens pauvres.alors dites une priere pour lui.allah yarahmek ya papa.inchallah on poura faire du bien autour de nous comme tu en a fait bocoups.
bouabdelli karima - sans - oran, Algérie

24/05/2012 - 32786

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UN BETHIOUI: Abdelhafid Bouabdelli Abdelhafid Bouabdelli, le moudjahid, le syndicaliste courageux et sans concession, le défenseur inconditionnel des «prolétaires et des opprimés» s’est éteint le 21 octobre 2007. Tous ceux qui l’ont connu ou approché étaient là, le jour de l’enterrement, pour présenter leurs condoléances et, aussi, pour exprimer leur admiration pour ce battant infatigable. Qui était-il? Abdelhafid est né à Bethioua, le 15 septembre 1927, au sein de la grande tribu des Bouabdelli dont l’aïeul était le cheikh de la Zaouïa qui porte d’ailleurs leur nom. Elevé dans un cadre propice à l’éveil national, Abdelhafid fera partie des premiers contingents de jeunes émigrés qui épousent, dès novembre 1954, la cause de la Révolution. Il activera dans le département de Dijon, et au Creusot plus particulièrement; arrêté le 1er novembre 1957, il est jugé et condamné à mort par les tribunaux français. Libéré le 30 avril 1962, il est expulsé vers Mostaganem où il intègre la police nationale en qualité de motard. Six mois plus tard, Hafid est recruté à EGA (ex-Sonelgaz) en qualité d’agent de poste THT et se retrouve rapidement membre de la section syndicale, puis de l’Union Locale UGTA. C’est le début d’une longue carrière syndicale qui le fera connaître comme un baroudeur et un syndicaliste non-conformiste qui n’hésite pas à bousculer les habitudes et à affronter ceux qu’il classait comme «ennemis de la classe ouvrière». Il est secrétaire général de l’Union de Wilaya UGTA pendant les années 1969 et 1970. Le syndicat de l’enseignement est en bagarre avec l’inspecteur d’académie autour du blocage des commissions paritaires. Il prend position pour la FTEC, dénonce par tract les pratiques de l’administration, menace de bloquer l’accès de l’académie, s’accroche avec le tout puissant wali de l’époque. Le conflit s’envenime, et il faudra l’arbitrage de la centrale pour trouver un terrain de compromis, pour un temps. Le 1er mai 1970, Hafid veut une démonstration de force des travailleurs et un défilé grandiose. Il mobilise sections syndicales, unions locales, moyens de transport y compris le train; il fait appel à la section de l’UNEA qui défile aux cris de: «A bas la réaction», «Vive la réforme agraire». Le journal «La République» parle de mobilisation de 100.000 travailleurs dans les rues d’Oran. C’en était trop pour Kaïd Ahmed, présent dans la tribune officielle installée sur le Front de Mer; excédé par ces mots d’ordre, le responsable de l’appareil du FLN demande à l’UGTA la tête de Bouabdelli rendu pour responsable de ces «débordements». Hafid est écarté à la suite d’un procès sur mesure; il reprend son bâton de syndicaliste en mai 1974 pour occuper le poste de secrétaire fédéral à la fédération des gaziers et électriciens, la FNEEGA. Président du Conseil Central des Œuvres Sociales de Sonelgaz, il milite activement pour la coordination des activités sociales des organisations homologues du pourtour méditerranéen. C’est à cette période que sont posées les bases des échanges avec les camarades maghrébins, français et italiens. Cependant, la fougue de Bouabdelli et son éternel besoin du mouvement amèneront le secrétariat fédéral à affronter, en février 1976, Belaïd Abdeslem, alors puissant ministre de l’Industrie, autour de l’étalement des 44 heures de travail hebdomadaire. La centrale prend le parti du ministre et la Fédération est tout simplement «gelée» jusqu’au congrès de mars 1978 qui verra la dissolution de cette structure verticale. De retour à Oran, Bouabdelli entame une nouvelle carrière au sein de la CASORAN, jusqu’à son départ à la retraite en 1987. Mais il n’est pas homme à rester inactif. Il milite à l’ONM. Il s’investit dans la ligue des droits de l’homme, au sein de la section d’Oran. Et, lorsque après 1989, les prêches incendiaires font leur apparition, il est là pour faire barrage à la politisation de la mosquée, au niveau de la Cité Djamel. Membre fondateur de l’association nationale des retraités de Sonelgaz, délégué mutualiste, Hafid joue un rôle actif lors de l’assemblée constitutive la MUTEG, la mutuelle des électriciens et gaziers, en mai 1991. Son opposition ferme aux plans concoctés par la DG Sonelgaz et ses deux syndicats d’entreprise, UGTA et SIT, fait échouer leur tentative de caporalisation de cette institution. Il restera jusqu’à juin 1996, date de son accident cardio-vasculaire, un patriote infatigable, présent sur tous les fronts de lutte, soutenant les causes justes, disant son refus de la «hogra», partageant son optimisme pour la construction d’une Algérie républicaine. A. Benfodda Ecrit par : Source : www.elmoudjahid.com
Tamhid - Ville
18/10/2009 - 4386

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bonsoir mr tamhid,je voudrais juste intervenir,pour dire qu'effectivement l'histoire tres detaillée de la periode coloniale axée uniquement sur la vie des colons ne nous interesse pas outre mesure .
B.BOUABDELLI - bethioua
20/09/2009 - 4219

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Pardon monsieur Bettioui, mon commentaire s'adresse à monsieur Khalil BOUABDELLI: Votre copié-collé se rapporte à l'histoire de saint-leu alors que nous pensions ce blog consacré à Bethioua.
tamhid - ville
16/09/2009 - 4196

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Algérie - Saint-Leu Un article de GeneaWiki. Aller à : Navigation, Rechercher Retour Saint-Leu Informations Pays Algérie Département Oran Code INSEE (92145) Code postal 31210 Population 6216 hab. (1958) Densité hab/km² Nom des habitants Superficie Point culminant Altitude Coordonnées (long/lat) 0°15'40"W / 35°48'09"N Localisation Sommaire [masquer] 1 Histoire de la commune 1.1 Le pays 1.2 Les débuts 1.3 Les travaux 1.4 Le village 1.5 Les agrandissements 1.6 L'urbanisme 1.7 Société coopérative vinicole 2 Repères géographiques 3 Illustrations, photos anciennes 4 Familles notables 4.1 Les Maires 4.2 Les Notaires 4.3 Les Curés 5 A savoir pour vos recherches généalogiques 5.1 Horaires d'ouverture de la mairie 5.2 Dépouillements des registres paroissiaux 5.3 Archives notariales 5.4 Patronymes 5.5 Remarques 6 Bibliographie 7 Liens utiles Histoire de la commune Le pays Par ordonnances royales des 5 juin et 1er septembre 1847, le service des Domaines avait remis au maréchal de camp Cavaignac, commandant par intérim de la province d'Oran, les terrains domaniaux situés dans le village de Béthioua et ayant appartenu antérieurement à des propriétaires morts sans héritiers ou émigrés au Maroc au cours de la conquête et dont les biens déclarés vacants avaient été séquestrés. Cavaignac en avait pris possession le 14 février 1848 sous réserve que les baux en cours seraient maintenus jusqu'à expiration. C'est donc sur des terrains libres que s'installaient ces colons libres, sur un territoire agricole de 351 hectares à proximité de la tribu berbère des Béthioua, originaire du Rif, dont les membres obtiendront eux-mêmes, dans les années proches qui vont suivre, c'est à dire à partir de 1853, des concessions de 2 à 10 hectares aux mêmes conditions que les Européens. Les débuts Les premières années furent désastreuses, quoique Saint-Leu soit, le centre le plus favorisé sous le rapport du voisinage de la mer et de la nature du sol, riche en terre végétale, en eau et en ruines romaines, qui offraient, au grand regret des archéologues actuels, des ressources en matériaux pour les constructions. Logés dans des maisons uniformes de 1 à 2 pièces du type dit "de colonie" au sol de terre battue produisant constamment de la poussière ou de la boue ; rongés par les insectes, redoutant les fauves, les hyènes surtout qui hantaient les villages à la tombée de la nuit, éprouvés par la sècheresse qui avaient grillé les récoltes des deux premières années, décimés par les fièvres et le choléra, déçus, irrités, découragés par leurs misères, beaucoup de ne purent résister et dès la première année, les renonciations, les départs commencèrent. Au recensement du 31 mars 1849, Saint-Leu à lui seul comptait 52 familles pour 140 habitants. Six mois plus tard 12 chefs de famille sont morts du choléra, d'autres s'en vont ou vont s'en retourner dans la métropole. Des familles entières s'éteignent au cours des trois premières années. En 1851, l'insatiable choléra va encore diminuer le nombre des premiers pionniers.L'épidémie en faisant des victimes parmi les chefs, va entraîner de nouvelles renonciations chez les veuves chargées d'enfants, qui, pour cette raison, ne trouveront pas à se remarier, et les orphelins que l'on enverra à l'hospice ou dans leurs familles en métropole, car le directeur ne sait qu'en faire et ne peut les laisser à la charge des autres colons. Colons, médecins, officiers, soldats, elle n'épargne personne et les travaux de la colonie vont subir un moment d'arrêt. En 1852, les anciens militaires, soldats libérés du 1er étranger, du 12ème léger, du 64ème de ligne, du génie, du 5ème cuirassiers et du 2ème chasseurs vont obtenir des concessions et des lots rendus vacants par la disparition de leurs premiers occupants, et viendront combler les vides. En 1853, de nouvelles familles de cultivateurs métropolitains obtiendront elle aussi de nouvelles concessions, si bien qu'après cinq ans d'efforts, de défrichements, de travail, de souffrances, Saint-Leu aura le droit de compter 45 courageux concessionnaires définitifs. Les travaux Dans un délai de trois ans, la concession devait être mise en rapport , sous peine de déchéance. Les colons n'avaient, pour la plupart, aucune notion d'agriculture Les Parisiens, chargés de créer Saint-Leu partis de Paris le 15 octobre 1848, et de Marseille par le deuxième convoi, le 29 octobre, débarquèrent à Arzew, 823 émigrants formeront la colonie de Saint-Leu, comptant 171 chefs de famille et 73 célibataires, en tout 244 colons dont 23 seulement étaient de véritables cultivateurs. Les colons étaient pour la plupart, des ouvriers d'art, de petits bourgeois idéalistes, impropres à la vie des champs, recrutés en grande partie dans ce qu'on appelle aujourd'hui en France des socialistes et des communistes. Des moniteurs-laboureurs militaires, formant la garnison de Saint-Leu et Damesme, vont aider les colons aux travaux de défrichement et de culture à raison d'un soldat par famille, déblayer les bassins et l'aqueduc romain afin d'y trouver la source, creuser les puits. Avec le matériel restreint dont disposaient les colons, 52 lots de jardins seront défrichés dès la première année à Saint-Leu. Sur les 351 ha d'étendue de son territoire, que chaque colon défrichait par parcelle de 2 hectares, à laquelle on ajoutait 2 autres hectares sur sa demande, Saint-Leu aura ensemencé en juin 1850 : 30 ha de blés, 65 ha d'orge, 10 ha de pommes de terre, 1,25 ha de maïs, 2 ha de seigle et planté 600 arbres, soit 108,25 ha. De plus 5000 pieds de vigne vont être répartis dans les deux centres. En plus du travail des champs auquel ils s'habituent peu à peu, grâce aux moniteurs militaires dont la suppression sera prononcée à dater du 1er janvier 1852, les colons sont assujettis à la corvée hebdomadaire ; ils empierrent les rues, creusent des puits, des caves souterraines. Le premier puit gratuit au moyen de la main-d'oeuvre gratuite des colons et des militaires sur la place du village donne 1,50 m d'eau à 16,50 m de profondeur en 1851. En attendant, on utilise les sources des collines de Portus Magnus qui ont un débit de 21,80 l par seconde. Ces nouvelles améliorations dans la situation des colons vont leur permettre de travailler plus activement. Avec cela, on comble les vides de sa bourse en faisant du bois ou du charbon, certains colons vont transporter du sel de la saline au port à raison de 7 francs la tonne. Les plus actifs obtiendront la faveur de travailler pour le Génie. Le village Au nombre des maisons construites par le Génie de 1848 à 1850 avec l'aide gratuite des colons, 8 à Saint-Leu sont affectées aux édifices publics, l'une à la sous-direction et à la salle d'asile, une au presbytère où sera installée l'école, une autre pour la maison de secours qui contiendra la pharmacie et l'habitation de l'agent de culture. Enfin une pour l'église.. L'école était installée dans la maison du presbytère. Elle y restera jusqu'en 1860. Elle avait été ouverte en 1849 pour permettre aux enfants de recevoir l'instruction aux heures où les travaux de la terre ou la garde des troupeaux ne les retenaient pas aux champs. Des cours du soir y étaient suivis par la généralité des colons, les enfants qui en avaient les moyens payaient leurs études 3 à 5 francs par mois. Les autres, c'est à dire la presque totalité, admis comme indigents, ne payaient rien.. En 1853, la colonie de Saint-Leu quittant la tutelle militaire va passer dans l'Administration civile, sous la dépendance Arzew, le 1er janvier de la dite année. Les soldats moniteurs ayant été supprimés depuis le 1er janvier 1852, la colonie ne va plus compter que sur les colons. Saint-Leu est sorti de l'enfance. Les concessionnaires sont devenus "Messieurs les Propriétaires" car ils ont rempli leurs engagements envers l'Administration et acquitté le droit qu'exige le titre définitif. Le pays est assaini, la sécurité établie, l'effervescence calmée. Tout ce qui était découragé est parti. On regrette un peu moins la France.. Les agrandissements Au cours des 30 premières années, la commune a obtenue des agrandissements successifs. Le village s'est étendu aux dépens des boulevards et a construit des habitations nouvelles. En 1879, au moment de son érection en commune, Saint-Leu occupe un territoire de 10 000 ha pour une population de 2851 habitants. La découverte et l'exploitation des eaux sulfureuses y amènent la création d'une station estivale aujourd'hui très appréciée. Un centre industriel appelé à devenir important s'était installé en 1852 sur le lac des Salines dont le sel était exploité dans l'Antiquité. Déjà les Romains avaient utilisé la Saline d'Arzew pour le salage des peaux et la conservation des poissons. Pour construire et exploiter le chemin de fer, une société va se former afin de trouver les capitaux nécessaires: d'abord société des Salines, elle deviendra en 1898, la société Malétra, qui ajoutera l'exploitation du lac à celle du chemin de fer. L'importante croissance de cette exploitation a créé au bord du lac une agglomération ouvrière dont le sort aujourd'hui est bien loin d'être à plaindre. C'est devenue une colonie très prospère avec la Saline. L'urbanisme De 1879 à 1884, la commune va connaitre 4 maires successifs : Roubineau Bertrand, Marchai Emile, Voile Victor et Billard Jacques. L'aspect du village n'a pas varié, l'école est toujours dans la maison de colonie , les deux puits couverts ornent le village ainsi qu'un abreuvoir public. Les élections de 1884 vont confier la mairie au Dr Duzan, arrivé depuis comme médecin de la colonisation. Saint-Leu va connaître alors une vie nouvelle. Depuis son élection et pendant les 32 ans de son mandat, M.Duzan va parcourir les routes de sa commune au trot de son cabriolet, visitant ses malades, se rendant compte de tous les besoins de ses administrés. Recherche d'eau et constructions de canalisations vont se multiplier. En 1892, la source des Hamayans apportera un complément à la source de Bénarès, utilisée depuis 1881, et alimentera Saint-Leu, Damesme et Béthioua, après 8 années de recherches, démarches, délibérations et travaux. En 1899, les deux premières sources étant devenues insuffisantes, la conduite de Mazafran va enfin porter l'eau douce tant désirée et cet évènement sera marqué d'une pierre blanche dans les annales de la commune.La pierre blanche, est la fontaine de la place de l'école, dont l'inauguration en 1904 donnera lieu à des manifestations et réjouissances. Mais le Dr Duzan ne borne pas là son ambition, il veut embellir le village et rendre la vie agréable à ses habitants. La série des travaux d'urbanisme commence par la construction de l'école des garçons, puis l'école des filles en 1894. A partir de cette date les écoles vont se multiplier dans la commune. La même année, la nouvelle mairie et ses annexes pour la poste et le logement du secrétaire viennent se construire en face des bâtiments scolaires que le pavillon central viendra compléter en 1911, le kiosque qui orne la place pour le société de musique dont une partie des hommes et jeunes du village deviendront membres exécutants. En 1905, les palmiers de la place viennent remplacer les vieux muriers, le village prend une physionomie nouvelle. Société coopérative vinicole La coopérative vinicoleVers la fin de 1929, un groupe de viticulteurs de Saint-Leu se réunissait à la Mairie et fondait une Société ayant pour objet la création d'une cave coopérative. La première pierre sera posée le 21 janvier 1930 par le Président-Fondateur Octave LALLEMAND et Bertrand ROUBINEAU Vice Président. Les coopérateurs étaient sept à l'origine, on en compta rapidement soixante-sept! Prévue pour recevoir 15 000 hectolitres la Cave devra être agrandie et en recevra 60 000. Parmi les meilleurs d'Oranie, les vins font en moyens 12°5 ; ils obtiennent une médaille d'Or à l'Exposition Coloniale Internationale de 1931. La Société a installé aux abords immédiats de la Cave une distillerie moderne permettant de traiter les vins et les marcs. Le Conseil d'Administration a pour devise > Source :Extrait partiel Revue P.N.H.A n°133 - Les grands Vins d'Oranie Numéro spécial de l'Afrique du Nord illustrée Edition L.FOULQUIE-ORAN- www.passerieux.com/historique.html Nom actuel : Bethioua wilaya Oran Repères géographiques cliquez sur la carte pour l'agrandir Illustrations, photos anciennes La Mairie Le kiosque Le Monument aux Morts Familles notables Les Maires Roubineau Bertrand - 1879 -1er Maire Marchai Emile Voile Victor Dr Duzan 18.05.1884 - 1916 (décès) LALLEMAND Octave LALLEMAND Landry Les Notaires Les Curés A savoir pour vos recherches généalogiques Horaires d'ouverture de la mairie Dépouillements des registres paroissiaux Identifier les actes numérisés au C.A.O.M :1849-1904 Archives notariales Patronymes Sur le site de GeneaNet Remarques Bibliographie De Portus Magnus à Saint-Leu, l'apport des pionniers Revue P.N.H.A n°133 Liens utiles Récupérée de « http://fr.geneawiki.com/index.php/Alg%C3%A9rie_-_Saint-Leu » Catégorie: Algérie AffichagesArticle Discussion Voir le texte source Historique Outils personnelsCréer un compte ou se connecter Navigation Accueil Communauté Actualités Modifications récentes Une page au hasard Aide Faire un don Rechercher Boîte à outils Pages liées Suivi des liens Envoyer un fichier Pages spéciales Version imprimable Lien permanent Dernière modification de cette page le 1 avril 2008 à 20:40. 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Khalil BOUABDELLI - retraité - oran - bir el djir
28/08/2009 - 4089

Commentaires

EMOUVANT!!!l C'est vrai que la nostalgie c'est quelque chose de beau et de penible a la fois,mais malheureusement ou heureusement on ne peut pas retouner vivre dans le passé...On a que la possibilite de rever de ce passé,si bien sur il n'était pas fait de misere comme c'est le cas d'autres gens ,ou le fait de revivre le passé est ...un cauchemar...Mais j'avoue que votre poeme est vraiment emouvant et tres beau
b bouabdelli - c sup - bethioua
14/05/2009 - 3327

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Ah! que j'étais belle du temps où le vent du large me renvoyait le rire de mes enfants, le bleu venait alors franger le vert de mes champs et j'écoutais la mer qui berçait mon temps . Qu'ont -elles laissé de ma beauté d'antan , ces mains venues d'ailleurs construire ces ogres froids et rugissants . Depuis, impuissante , du haut de mes ruines , je regarde ma ruine faite de fumées et de hurlements. Que ma vie était douce du temps où la mer ne rejetait pas le corps de mes enfants. Dieu que j'étais belle du temps où ma liberté n'était pas ceinte de béton.
Alexander lisa - enseignante - oran
05/03/2009 - 2782

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