Le tribunal de Mascara s'est prononcé avant-hier, sur la scandaleuse affaire du sang contaminé par le SIDA, de l'Etablissement public hospitalier, Meslem Taye Ainsi, le chef de service,Le tribunal de Mascara s'est prononcé avant-hier, sur la scandaleuse affaire du sang contaminé par le SIDA, de l'Etablissement public hospitalier, Meslem Taye Ainsi, le chef de service,
un médecin et 3 infirmières au niveau de cet établissement, ont écopé de 18 mois de prison ferme et une amende de 10 millions centimes, pour "négligence et falsification de documents officiels", a rapporté un site d'information en ligne. Rappelons que dans cette affaire, la partie civile avait requis la peine maximale contre les prévenus.
Genèse d'un scandale
L'affaire remonte à 2016, quand une jeune mère de 26 ans est admise dans l'Etablissement public hospitalier, Meslem Tayeb, pour subir une césarienne. En ressortant, elle se retrouve séropositive, soit, porteuse du virus du SIDA !Selon son témoignage, elle a contracté le VIH lors d'une transfusion sanguine, rendue nécessaire pendant la chirurgie. Depuis, la jeune maman vit le calvaire alors que le staff l'ayant opérée n'a jamais reconnu son tort. "Je ne veux ni argent ni rien. Je veux juste que les responsables soient jugés pour leur négligence et leur mensonges", avait-elle déclaré, dans un émouvant témoignage accordé à la chaîne privée Ennahar TV, en Juillet 2019.
un médecin et 3 infirmières au niveau de cet établissement, ont écopé de 18 mois de prison ferme et une amende de 10 millions centimes, pour "négligence et falsification de documents officiels", a rapporté un site d'information en ligne. Rappelons que dans cette affaire, la partie civile avait requis la peine maximale contre les prévenus.
Genèse d'un scandale
L'affaire remonte à 2016, quand une jeune mère de 26 ans est admise dans l'Etablissement public hospitalier, Meslem Tayeb, pour subir une césarienne. En ressortant, elle se retrouve séropositive, soit, porteuse du virus du SIDA !Selon son témoignage, elle a contracté le VIH lors d'une transfusion sanguine, rendue nécessaire pendant la chirurgie. Depuis, la jeune maman vit le calvaire alors que le staff l'ayant opérée n'a jamais reconnu son tort. "Je ne veux ni argent ni rien. Je veux juste que les responsables soient jugés pour leur négligence et leur mensonges", avait-elle déclaré, dans un émouvant témoignage accordé à la chaîne privée Ennahar TV, en Juillet 2019.
-
Votre commentaire
Votre commentaire s'affichera sur cette page après validation par l'administrateur.
Ceci n'est en aucun cas un formulaire à l'adresse du sujet évoqué,
mais juste un espace d'opinion et d'échange d'idées dans le respect.
Posté par : presse-algerie
Ecrit par : Ll Ee Mm Ii Dd Ii Ll Ii Bb Rr Ee
Source : www.lemidi-dz.com