Chlef - 05- La période Ottomane

Naufrage du Banel dans la baie de Souahlia (1802)


Naufrage du Banel dans la baie de Souahlia (1802)
Introduction : Le naufrage du " Banel " dans la baie de Goussine : 15 janvier 1802

En janvier 1802, un navire français, le " Banel ", fit naufrage sur la côte, au cours d'une tempête qui dura plusieurs jours. Ce navire transportait des troupes à Saint-Domingue, où le frère du 1er Consul se trouvait en difficulté.

Bonaparte menaça le Dey Mustapha de venir lui-même récupérer son monde s'il ne faisait rien pour retrouvés les naufragés. Une partie des hommes fut sauvée par le Bey d'Oran, Mohammed Mekalech (fils du Bey Mohammed Al Kebir qui avait repris définitivement Oran aux Espagnols). Mais il manquait du monde, spécialement plusieurs femmes. La littérature orale a, semble-t-il (1), un peu transformé l'histoire : ces femmes sont devenues plus au moins des religieuses. L'une d'entre elles, " Imma Benet ", aurait eu beaucoup d'influences sur les Beni Haoua. Si ces femmes étaient jeunes en 1802, elles ont très bien pu assister aux premiers évènements de l'occupation française. Sur le terrain même, histoire et légende ne sont pas toujours facilement séparables. Il faut ajouter à cela que les archives de Toulon, port de départ du Banel, furent transportées à Brest où elles ont disparu au cours des bombardements aériens de la seconde guerre mondiale.

1- (Voir enquêtes et travaux de Mme Alberte Sadouillet-Périn , qui est remontée aux sources : - la mémoire des anciens des Beni Haoua, avec l'aide de Si Al Hossine Ben Henni Moqrane, - les résultats de son enquete, Mme S- P les a consignés dans divers articles, puis dans un roman, " Les captives du Banel ", Paris, Centurion, 1954, paru également dans l'hebdomadaire algérois " l'éffort algérien ", du 15/04 au 15/07/1954.)

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Les Beni Haoua et les Beni Hidja dans l’alliance turque

Dans l'alliance turque,les Beni Haoua et les Beni Hidja formaient une sorte de Micro- Confédération de tribus :une partie des Beni Derdjine, au sud, et douar Maïn, à l'ouest, se rattachaient à eux. A l'est, la limite était l'oued Damous ; au-delà commençait la confédération des Zatima.

Pour l'administration turque, c'était des tribus semi indépendantes dont elle reconnaissait les chefs pour ne pas les avoir contre elle. Cet Aghalik dépendait en théorie du Bey d'Oran. Cet Aghalik des Beni Haoua et des Beni Hidja était Commandé, en ce début du XIXe siècle, par l'Agha Si Al Hajj Abd-al- Qader Ben Henni, surnommé " Al Moqrane " ( Al Kébir, l'aîné), qui était également Caïd de sa tribu. Le Caïd des Beni Hidja, dépendait de l'Agha, mais nommait lui-même les chefs de " ferqa " de sa tribu. Les noms des ferqa (fractions) étaient déjà ceux que nous connaissons.

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Correspondance des Deys d'Alger avec la Cour de France
Mr. Dubois-Thainville, chargé d'affaires à Alger au Dey Mustapha, Alger, ventôse an X (avril 1802)

Le vaisseau français Le Banel portant 200 marins, 529 militaires et 9 femmes, ayant à bord des munitions de guerre et de bouche, s'est perdu le 25 nivôse dernier (15 janvier) sur les côtes de Barbarie (1). Les rapports qui me sont parvenus sur cet évènement font frémir. Les habitants des contrées où le naufrage a eu lieu se sont portés aux attentats les plus inouïes ; ils ont employé les moyens les plus barbares pour s'opposer au salut des Français, ils ont brisé les embarcations, détruit les radeaux, coupé les cordes q'on été parvenu à attacher à terre; ils ont pillé, dispersé l'argent et une partie des effets qui se trouvaient sur le bâtiment. Les Français qui ont échappé à la fureur de la mer ont été dépouillé, mis nus par le froid le plus rigoureux, assassinées ou traînés impitoyablement dans les montagnes. Plus de 200 ont péri de la main des barbares, et leurs cadavres sont encore étendus sur le rivage et sur la route d'Oran. Plusieurs naufragés du nombre desquels se trouvent être trois femmes, le Comte Noyer, officier, et plusieurs mousses sont encore au pouvoir des Kabiles.

Les traités de la République avec la Régence et particulièrement celui de 1689, qui vient d'être renouvelé par son Excellence le Dey (2), portent que tout bâtiment français échouant sur les côtes d'Afrique recevra secours, protection et sûreté ; que les hommes, les effets et les marchandises seront respectés. Les naufragés étaient donc sous la sauvegarde des conventions les plus sacrées. Dans cette circonstance tout est devenu la proie des assassins, et les français ont trouvé sur une terre amie la mort et l'esclavage les plus affreux. Un d'eux a, dit-on, embrassé la religion musulmane. L'article 19 du traité de 1689 S'exprime ainsi : " Si un français veut se faire Turc, il n'y pourra être reçu qu'au préalable il n'ait persisté trois fois 24 heures dans cette résolution, pendant lequel temps il sera mis en dépôt entre les mains du Consul.

Toutes les mesures protectrices ont sans doute été ordonnées par la régence d'Alger dans cette circonstance malheureuse, et je pris son excellence Dey et tout les Grands d'agréer les témoignages de ma plus vive reconnaissance, mais ils jugeront sans doute que de nouvelles dispositions et réparations proportionnées à la gravité des attentats sont indispensables.

Je réclame, au nom et d'après les ordres de Bonaparte, Premier Consul de la République française : " 1° - la punition exemplaire des assassins, 2°- la restitution de tous les effets saisis par eux, 3°- la délivrance immédiate des Français qui sont encore en leur pouvoir, 4°- Je demande que les Français reçoivent la sépulture, 5° - Que, conformément à l'article 19 du traité de 1689, le Français qui a témoigné le désir d'embrasser la religion musulmane soit envoyé ici, ou déposé à Oran dans la maison du Vice- Consul d'Espagne. Il sera rendu à l'expiration des trois jours, s'il persiste dans sa résolution (3).

Dubois- Thainville

NOTES:
(1) Le Banel, commandé par le capitaine Callamand, transportait des troupes de Toulon à Saint-Domingue, et il avait échoué sur la côte du cap de Tenez. Les naufragés avaient été dépouillés et maltraités par les hordes insoumises de ces parages, et le Bey d'Oran (Mohammed Mekallech [1799-1805]), fils du Bey Mohammed al Kabir qui reprit Oran (1798), et père de Mekallech que les Français nommeront bey de Tlemcen en 1842, avait gardé en esclavage les hommes de l'équipage qui avaient pu se soustraire au massacre de leurs compagnons.

(2) L'original de ce traité est aux archives des Affaires étrangères, Salle des Traités. Il a été publié dans les recueils de MM. Martens, Tétot et de Clercq. Il stipulait la liberté de commerce comme avant la rupture, la suppression de l'esclavage des Français à Alger, la restitution des Concessions d'Afrique, l'exemption d'une année de redevances, et le remboursement des sommes respectivement dues par la France aux Bacri et par la Régence à la Compagnie d'Afrique dépossédée de ses comptoirs.

(3) Talleyrand (ministre des Affaires étrangères, (1797-1807), félicita notre Consul de l'énergie et de l'efficacité des mesures prises pour venir au secours des naufragés et les arracher à la férocité des Arabes. Il le pria d'exiger qu'il fût fait des recherches jusqu'à ce qu'il fût certain que tous les survivants du Banel fussent délivrés. Voy. Lettre du citoyen Talleyrand au citoyen Dubois-Thainville, le 23 messidor an X. On doit dire que Dubois-Thainville avait refusé de donner des présents à Mustapha, après la signature du dernier traité de paix, et que cette raison motivait la mauvaise humeur avec laquelle le Dey avait accueilli les réclamations verbales de notre représentant. Voy. Discussion relative aux prétentions du Dey à des présents de la République française. (Moniteur universel, an IX, n° 829).


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Bonaparte, Premier Consul de la République Française à Mustapha, Dey d’Alger
Paris, le 29 messidor an X (18 juillet 1802)

Grand et magnifique Dey

Je vous écris cette lettre directement parce que je sais qu'il a de vos Ministres qui vos trompent (1), et qui vous portent à vous conduire d'une manière qui pourrait vous attirer de grands malheurs (2). Cette lettre vous sera remise en mains propres par un Adjudant de mon ¨Palais (3). Elle a pour but de vous demander réparation prompte, et telle que j'ai droit de l'attendre des sentiments que vous avez toujours montrés pour moi. Un officier français a été battu, dans la rade de Tunis, par un de vos reïs (3 bis). L'agent de la République a demandé satisfaction et n'a pu l'obtenir. Deux bricks de guerre ont été pris par vos corsaires, qui les ont amenés à Alger et les ont retardés dans leur voyage (4). Un bâtiment napolitain a été pris par vos corsaires dans la rade d'Hyères, et partant ils ont violé le territoire français (5). Enfin un vaisseau qui a échoué cet hiver sur vos côtes, il me manque encore plus de 150 hommes qui sont entre les mains des barbares (6). Je vous demande réparation pour tous ces griefs, et ne doutant pas que vous ne preniez toutes les mesures que je prendrais en pareille circonstance, j'envoie un bâtiment pour reconduire en France les 150 hommes qui me manquent. Je vous prie aussi de vous méfier de ceux de vos Ministres qui sont ennemis de la France. Vous ne pouvez pas avoir de plus grands ennemis, et si je désire vivre en paix avec vous, il ne vous est pas moins nécessaire de conserver cette bonne intelligence qui vient d'être rétablie, et qui seule peut vous maintenir dans le rang et dans la prospérité où vous êtes, car Dieu a décidé que tous ceux qui seraient injustes envers moi seraient punis.

Si vous voulez vivre en bonne amitié avec moi, il ne faut pas que vous me traitiez comme une Puissance faible ; il faut que vous fassiez respecter mon pavillon, celui de la République italienne où je commande, et que vous me donniez réparation de tous les outrages qui m'ont été faits. Cette lettre n'étant pas à une autre fin, je vous prie de la lire vous-même et de me faire connaître, par le retour de l'officier que je vous envoie, ce que vous aurez jugé de faire (6).

Bonaparte.

NOTE:
(1) Allusions aux intrigues du Vekilhardj, des Juifs Bacri et des Anglais. Ces derniers encourageaient les troubles suscités contre nos pêcheurs de corail par le rebelle Ben-Harch-el-Bouali, qui avait soulevé toute la province de Constantine. Voy. Histoire de Gigelli, par Féraud (Recueil de la Soc. archéol. de Constantine).

(2) Mustapha avait menacé Dubois-Thainville de le faire embarquer avec tous les Français s'il ne lui donnait pas, dans un le délai de 40 jours, 200 000 piastres qu'il disait avoir été contraint de payer au Grand Seigneur pour avoir procuré des subsistances au Directoire.

(3) Bonaparte fit partir de Brest, le 8 juillet 1802, les vaisseaux Le Scipion et Le Duquesne, la corvette La Tactique et le brick Le Furet, commandés par le Vice- Amiral Leyssègues et conduisant à Alger l'Adjudant Hulin. D'après ses instructions, cet officier devait déclarer au Dey que le Premier Consul désirait bien vivre avec lui, mais qu'il n'avait jamais capitulé avec l'honneur, et que si Mustapha ne donnait pas des ordres pour que l'on respectât le pavillon français, Bonaparte était capable d'aller lui-même à Alger. " Si jamais le Dey se conduisait avec violence, car on doit tout attendre d'un barbare, le citoyen Thainville en s'en allant en instruirait l'Amiral, qui a ordre de bloquer Alger. " - De son côté l'Amiral Decrès, ministre de la Marine, reçut l'ordre de rassembler dans la Méditerranée 40 Vaisseaux de guerre, pour être prêts à agir suivant les circonstances contre les Régences de Tunis et d'Alger, " qui n'avaient pas pour le pavillon de la République le profond respect et les égards que le Premier Consul était dans l'intention qu'elles eussent ". Voy. Lettres du Premier Consul au citoyen Talleyrand, les 27et 29 messidor an X (…) Correspondance de Napoléon 1er, t. VII, pp. 665et 666. "

(3 bis) " Vous exigerez impérieusement la tête du reïs qui s'est permis de faire bâtonner un capitaine français et de traiter son équipage avec la dernière indignité. Vous ferez entendre à la régence qu'elle se doit à elle-même se sévir contre le coupable de manière à prévenir désormais de pareils excès. " - Lettre du citoyen Talleyrand au citoyen Dubois-Thainville, le 23 messidor an X. "

(4) Le Necker et La Marie avaient été conduits à Alger par Hassan- reïs, sous prétexte que leurs capitaines n'avaient pas montré leurs passeports. Ces bricks étaient chargés de provisions pour l'armée française à Tarente ; la cargaison avait été vendue et les 8 hommes d'équipage gardés plusieurs jours comme esclaves. "

(5) La polacre napolitaine Saint Louis de Gonzague, partie de Corfou des îles d'Hyères ; la cargaison avait été vendue et les 38 hommes d'équipage emmenés en captivité. "

(6) Hulin avait reçu l'ordre d'exiger une réponse article par article.


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Mustapha Dey d'Alger, à Bonaparte premier consul de la république Française.
Alger, le 12 août 1802.

De la part du très haut Seigneur Mustapha, Sultan d'Alger, la ville bien gardée, à notre compagnon et notre ami Bonaparte, Premier Consul, Souverain de la République française et de la République italienne. Je vous salue. La paix de Dieu soit avec vous !


Ci-après, notre ami, je vous avertis que j'ai reçu par l'intermédiaire d'un Général de votre garde et par celui de votre Chargé d'affaires Dubois-Thainville votre lette en date du 29 messidor ; je vais vous répondre article par article.

Premièrement, ma réponse est que je désire vous satisfaire sur tous les points (1). Quant au Capitaine Ali, dont vous vous plaignez, quoiqu'il ne soit pas du nombre de mes gens, je l'ai fait arrêter et garrotter pour lui ôter la vie sur-le champ, et dans le moment où j'en avais donné l'ordre, votre Chargé d'affaires et venu Il et m'a demandé sa grâce en votre nom ; je la lui ai accordée en votre faveur et je l'ai mis en liberté.

Secondement, vous vous plaigniez de la prise d'une polacre napolitaine sous le canon des côtes de France. Ce fait vous à été rapporté d'une manière qui n'est point vraie ; cependant, par égard pour vous, j'ai affranchi les 28 matelots qui s'y trouvaient et je les ai fait remettre entre les mains de votre Chargé d'affaires.

Troisièmement, vous réclamez le navire napolitain qu'on dit etre sorti de Corfou avec des papiers français, il n'a point montré ces papiers, mais en votre faveur j'ai affranchi les matelots de ce navire, et ce je les ai remis à votre Chargé d'affaires.

Quatrièmement, vous m'aviez demandé de faire arrêter le Capitaine qui a emmené deux navires de la République française ; par considération pour vous je l'ai destitué, mais je dois vous informer que mes Capitaines ne savent pas lire et que, de tous les écrits chrétiens, ils ne connaissent que les passeports d'usage. Telle la cause de leur erreur dans cette affaire. Il convient que vous donniez ordre aux négociants de prendre avec eux quelques signes distinctifs pour que mes gens puissent les reconnaître.

Cinquièmement, vous réclamez 150 personnes qui ont été, à ce qu'on dit, jetés sur la côte à la suite d'un naugrage. Dieu a disposé de leur sort et il n'en reste pas un seul. ; ils sont tous perdus. Tel est l'état des choses.

Sixièmement, vous dites que les hommes qui se sont emparés de ma confiance mettent le trouble entre vous et moi ; mais nous sommes amis, notre amitié est sincère et ancienne, et tous ceux qui s'interposent entre nous sons des amis communs.

Septièmement, vous désirez que nous soyons amis avec la République italienne et que nous respections son pavillon comme le vôtre. Vos intentions seront remplies ; si tout autre que vous nous l'avait demandé, nous n'aurions pas accordé cet article.

Huitièmement, vous ne voulez pas m'envoyer les 200 000 piastres que j'avais demandées en indemnité des pertes que j'ai essuyées par rapport à vous, et conformément aux promesses de votre Chargé d'affaires, mais soit que vous nous accordiez ou que vous nous refusiez cette somme, nous n'en serons pas moins amis.

Neuvièmement, je me suis entendu avec notre ami, le Chargé d'affaires Dubois-Thainville, relativement aux affaires de la Calle et à ceux qui viennent pêcher le corail. La Compagnie d'Afrique pourra travailler comme auparavant ; j'ai ordonné au Bey de Constantine de la protéger.

Dixièmement, j'ai fait tout ce que vous désiriez pour vous satisfaire sur tout ce que vous demandiez ; je vous prie d'en agir réciproquement de même à mon égard.

Onzièmement, apprenez que je vous respecte et donner des ordres pour ceux qui sont mes ennemis ne puissent naviguer sous votre pavillon ni sous celui de la République italienne, afin d'éviter toute altercation entre nous, parce que je désire rester votre ami.

Douzièmement, j'ai ordonné à tous mes Capitaines de respecter le pavillon français ; le premier qui emmènera un navire puni.

Treizièmement, je vous prie en grâce de donner les ordres nécessaires pour qu'on termine les affaires de Bacri et de Busnach, attendu les pertes qu'ils ont essuyées pendant la réclamation de ces fonds. Je vous prie d'arranger cette affaire, ainsi que Dubois-Thainville me l'avait promis de votre part (2)

Quatorzièmement, notre ami, s'il survient quelques chose entre nous, écrivez-moi vous-même et tout s'arrangera à l'amiable. " Et le salut.

Ecrit à Alger, le 13 de Rebi-el-aker, l'an 1217.
Mustapha Dey et Gouverneur d'Alger

NOTE :
(01) - La division navale du Vice -Amiral Leyssègues arriva le 07 août 1802. Hulin demanda aussitôt une audience à Mustapha, descendit à terre, accompagné du Consul, qui était venu le saluer à bord, et de 15 officiers d'Etat- Major, et déclara que la France était prête à envoyer une armée de débarquement et à détruire Alger de font en comble. Terrifié par cette attitude, le Dey passa aussitôt à l'insolence à une différence absolue, reçut les officiers de l'escadre avec des honneurs exceptionnels dans le plus grand pavillon de ses jardins, et leur donna les plus beaux chevaux de ses écuries. Il accorda toutes les satisfactions demandées, et répondit une lettre aussi humble que celle qu'il avait reçue était hautaine. Le s Consuls étrangers, Falcon, Nordeling, Fraissinet, Bille, représentants de l'Angleterre, de la Suède, de la Hollande et du Danemark, rivalisèrent de prévenances auprès des Envoyés de Bonaparte, et donnèrent en leur honneur les plus brillantes réceptions.

(2) - Bonaparte donna des ordres pour que les comptes de ces Juifs fussent examinés avec soin. Ceux-ci transmirent au Ministre une nouvelle note de leurs créances, montant à 8.151.012 f 54c.







j besoin de deux livre 1- les captives du banel 2-en algérie au fil du drame
adel eziwez - etudiant - beni haoua, Algérie

11/12/2010 - 9164

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