B.B.Arreridj

Fronde au FLN


L'opération de dépôt des listes électorales a été clôturée hier à minuit. Cette opération de collecte de signatures et de confection des listes électorales, qui devait se terminer le 22 avril et qui a été prolongée de quelques jours supplémentaires par le président de la Rrépublique, n'a pas été une simple balade pour de nombreux partis politiques et les indépendantsL'opération de dépôt des listes électorales a été clôturée hier à minuit. Cette opération de collecte de signatures et de confection des listes électorales, qui devait se terminer le 22 avril et qui a été prolongée de quelques jours supplémentaires par le président de la Rrépublique, n'a pas été une simple balade pour de nombreux partis politiques et les indépendants
Elle risque encore de provoquer moult mécontentements au sein de quelques partis politiques où, déjà, la colère est perceptible. En tout cas, c'est le cas au parti du Front de libération national (FLN) où la grogne n'en est, dit on, qu'à ses débuts. Hier, des secrétaires de mouhafadhas et des militants de la wilaya de Bordj Bou Arreridj ont clairement accusé le conseiller du Secrétaire général du parti, d'avoir confectionné la liste électorale du partie "à sa guise", et selon "des calculs
personnels". Selon le communiqué rendu public hier, il est reproché à la même personne, d'avoir réédité le même scénario que celui de 2017, lors des élections locales lorsque Djamal OuldAbbas était le chef de file du parti. Selon le communiqué, "la liste électorale élaborée par la commission de wilaya, a été triturée à hauteur de 80% de sa composante" ; Autant dire que la liste électorale a été presque complètement modifiée au profit des proches et amis du conseiller qui, plus grave encore accusent les frondeurs, se recrutent essentiellement parmi les milieux des affaires. Comme quoi "l'argent sale", n'est pas loin de cette liste électorale, ce qui est loin d'être une simple affaire, puisque la législation interdit l'argent sale de toute présence lors des scrutins . Pour les signataires du communiqué, l'entière responsabilité doi = incomber au secrétaire général Baaji Abou El Fadl. Les frondeurs ont de plus tenus a dégager toute responsabilité de l'échec attendu lors des législatives du 12 juin prochain. Ce qui s'est passé dans cette wilaya des Hauts-plateaux n'est certainement pas un cas isolé. e de submerger le vieux parti. Car, comme c'est le cas lors des élections, les mécontents ont toujours été légion au FLN, et ont quelque fois suscité de sérieux remous internes.
Au FLN, il y'a de tout temps eu des mains invisibles, qui confectionnaient les listes électorales, contrairement aux voeux de la base militante qui, souvent, ne comptait pas et ne pesait pas dans la balance dés lors qu'il s'agit de gros intérêts. A l'évidence, de telles pratiques ont encore la peau dure, alors que d'aucuns estimaient que le vieux parti a tourné une page de son histoire avec le soulèvement populaire et le discrédit qui la frappé. Il n'en est apparemment rien. Ce d'autant que des informations concordantes font état de la candidature des "enfants de responsables". Cette présence assez conséquente dans les listes électorales suscite déjà l''ire des militants et des cadres du parti.
Elle risque encore de provoquer moult mécontentements au sein de quelques partis politiques où, déjà, la colère est perceptible. En tout cas, c'est le cas au parti du Front de libération national (FLN) où la grogne n'en est, dit on, qu'à ses débuts. Hier, des secrétaires de mouhafadhas et des militants de la wilaya de Bordj Bou Arreridj ont clairement accusé le conseiller du Secrétaire général du parti, d'avoir confectionné la liste électorale du partie "à sa guise", et selon "des calculs
personnels". Selon le communiqué rendu public hier, il est reproché à la même personne, d'avoir réédité le même scénario que celui de 2017, lors des élections locales lorsque Djamal OuldAbbas était le chef de file du parti. Selon le communiqué, "la liste électorale élaborée par la commission de wilaya, a été triturée à hauteur de 80% de sa composante" ; Autant dire que la liste électorale a été presque complètement modifiée au profit des proches et amis du conseiller qui, plus grave encore accusent les frondeurs, se recrutent essentiellement parmi les milieux des affaires. Comme quoi "l'argent sale", n'est pas loin de cette liste électorale, ce qui est loin d'être une simple affaire, puisque la législation interdit l'argent sale de toute présence lors des scrutins . Pour les signataires du communiqué, l'entière responsabilité doi = incomber au secrétaire général Baaji Abou El Fadl. Les frondeurs ont de plus tenus a dégager toute responsabilité de l'échec attendu lors des législatives du 12 juin prochain. Ce qui s'est passé dans cette wilaya des Hauts-plateaux n'est certainement pas un cas isolé. e de submerger le vieux parti. Car, comme c'est le cas lors des élections, les mécontents ont toujours été légion au FLN, et ont quelque fois suscité de sérieux remous internes.
Au FLN, il y'a de tout temps eu des mains invisibles, qui confectionnaient les listes électorales, contrairement aux voeux de la base militante qui, souvent, ne comptait pas et ne pesait pas dans la balance dés lors qu'il s'agit de gros intérêts. A l'évidence, de telles pratiques ont encore la peau dure, alors que d'aucuns estimaient que le vieux parti a tourné une page de son histoire avec le soulèvement populaire et le discrédit qui la frappé. Il n'en est apparemment rien. Ce d'autant que des informations concordantes font état de la candidature des "enfants de responsables". Cette présence assez conséquente dans les listes électorales suscite déjà l''ire des militants et des cadres du parti.


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