Algérie

Vue générale de Tlemcen à partir de la forêt du petit perdreau



Vue générale de Tlemcen à partir de la forêt du petit perdreau


Avant de porter le nom de Tlemcen, la ville heureuse dont les jardins sont fécondés par une eau abondante et claire, fut d'abord appelée Pomaria, puis Agadir. Malgré un développement moderne un peu intempestif, Tlemcen conserve un ensemble archéologique remarquable. Les monuments arabes s'inspirent beaucoup de l'art de Cordoue, surtout sa mosquée qui, élevée « à la fin du vme siècle par le premier représentant espagnol de la dynastie Omeiyade, agrandie à trois reprises par ses successeurs au cours du ixe et du xe siècle, nous apparaît comme le creuset d'où cet art (de l'Islam occidental) devait sortir ».

W. et G. Marçais, Les monuments arabes de Tlemcen, Paris, 1903; W. Marçais, Musée de Tlemcen, Paris, 1906; G. Marçais, Album de pierre, plâtre et bois sculptés, Alger, 1909- 1916, et son Manuel d'art musulman, 2 vol., Paris, 1926-1927.

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