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Vingt-sept mois après l'assassinat du petit Abderraouf



Vingt-sept mois après l'assassinat du petit Abderraouf
Le crime perpétré à la fin du mois de janvier 2012 en plein jour à quelques mètres du siège du 10e arrondissement de la Sûreté urbaine de Sétif a été élucidé.En effet, les éléments de la police qui sont intervenus pour arrêter un jeune de 30 ans, impliqué dans une rixe, ont découvert le pot aux roses. Après vingt-sept mois de cavale, le jeune mis en cause, sous l'effet de psychotropes, est passé aux aveux, lors de l'examen de situation, selon des sources policières. L'enquête ouverte en 2012 et qui avait fait couler beaucoup d'encre suscitant beaucoup d'interrogations suit son cours. Selon les premiers éléments d'information en notre possession, l'assassin ne connaissait pas les parents de sa victime et le crime aurait été commis sous l'effet de la drogue. Mais plusieurs questions continuent d'entourer cette affaire qui a affecté la population. Certains internautes ont été radicaux et ont appelé au lynchage public de l'assassin. Rappelons que la victime, un petit garçon âgé de 5 ans de la localité d'Adaoua dans la commune de Aïn Azel à 82 km du chef-lieu de la wilaya, a été arrachée à sa mère et égorgée en plein jour. Les services de police avaient diffusé un portrait robot du criminel et au moment où une grande partie des hypothèses émises privilégiaient que l'auteur de l'assassinat serait de la même localité que la famille de la victime, la mère de l'enfant a affirmé qu'elle ne l'a pas reconnu. Les chauffeurs de taxi en stationnement devant le lieu du crime, les passants et les commerçants qui n'ont rien vu et rien entendu, n'ont pas facilité la tâche des enquêteurs.F. SNomAdresse email




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