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Une sixième sous de meilleurs auspices




Une sixième sous de meilleurs auspices
Le 6e Festival culturel international de musique symphonique s'est ouvert vendredi dernier au Théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi (TNA d'Alger) par un récital musical commun animé par les musiciens de l'Orchestre symphonique algérien, auquel ont joint quelques musiciens de différents pays participants et ce, sous la baguette du maestro algérien Amine Kouider.Le 6e Festival culturel international de musique symphonique s'est ouvert vendredi dernier au Théâtre national algérien Mahieddine-Bachtarzi (TNA d'Alger) par un récital musical commun animé par les musiciens de l'Orchestre symphonique algérien, auquel ont joint quelques musiciens de différents pays participants et ce, sous la baguette du maestro algérien Amine Kouider.La cérémonie d'ouverture a été présidée par le secrétaire général, Rabah Hamdi, représentant de la ministre de la Culture Nadia Labidi, en présence des représentations diplomatiques des pays prenant part à cet évènement. Après une longue ovation nourrie et des youyous, le maestro Amine Kouider a fait son apparition devant une salle, comble.Le concert d'ouverture du festival, qui se poursuivra jusqu'au 19 septembre et auquel participent pas moins d'une vingtaine de pays, a comporté un programme riche et varié du répertoire G.Verd. Des extraits d'opéra ont été interprétés en parfaite fusion entre les musiciens algériens et étrangers, rehaussée par les voix de la soprano Catherine Mamandaza (Soprano), tels que :?'La Traviata (prelude acte 1'', 'La Traviata Estrano ?'Ah fors'e lui'', Aida ?'Ritorna vincitor'', un bal masqué- Acte 2 prélude (Scène-Air) Ecco Planni du Campo ma dall'arido stelo, IL Trovatore ?'tacea la notte placida'' Di tale Amor. L'ensemble des musiciens, brillants de technique et de dextérité, ont bien traduit leur professionnalisme académique, se livrant allégrement au gré des mélomanes dans une belle fusion de la parole et la mélodie qui n'a pas manqué de susciter la reconnaissance manifeste de l'assistance.Le public recueilli, relativement nombreux, a pu saisir des instants de pureté et voyager à travers un beau rêve durant lequel l'ensemble des musiciens et des choristes ont judicieusement élevé le patrimoine culturel algérien au rang de l'universalité. Déclarant officiellement ouverte la sixième édition du Festival culturel international de musique symphonique, le représentant de la ministre de la Culture, Nadia Labidi, en l'occurrence, Brahim Hamdi, a relevé dans une allocution que cet évènement musical est devenu « un rendez-vous culturel très attendu aussi bien par les professionnels de la musique que par un public fidèle et passionné ».« Ce festival est une occasion pour notre public de découvrir ou redécouvrir les grandes oeuvres de la musique symphonique mondiale grâce à la participation, aux côtés de l'orchestre symphonique national, des musiciens et ensembles venus de toutes les régions du monde et faisant de ce festival un lieu de dialogue, d'échanges et de rapprochement entre les nations et les peuples », at- il dit.Un sentiment d'accomplissement unanime largement ressenti, a été traduit par les deux orchestres, en fusion parfaite, interprétant savamment les plus grands chefsd'oeuvre de la musique classique universelle. Le commissaire du festival et directeur de l'OSN, Abdelkader Bouazzara, pour sa part, a présenté les invités de cette 6e édition et donné lecture au texte inaugurant officiellement, au nom de la ministre de la Culture, l'ouverture du festival.Les pays participants, au nombre de vingt sont: la Belgique invitée d'honneur, la Suisse, la Syrie, Egypte, Tunisie, l'Espagne, la Russie, la Finlande, la Pologne, le Mexique, l'Ukraine, l'Italie, la France, la Chine, l'Allemagne, le Japon, l'Autriche, et la Suède. Abdelkader Bouazara a tenu à souhaiter la bienvenue aux invités de l'Algérie tout en précisant que ce festival est un grand rassemblement de musiciens professionnels de renommée mondiale. Né en 1967 à Alger, Amine Kouider a dirigé plusieurs grands orchestres de par le monde, dont l'Orchestre du Kirkov de l'Opéra de Saint-Pétersbourg, l'Orchestre international de Paris (France- de 1998 à 2004) et l'Orchestre philharmonique du Qatar (2010).Nommé, entre autres, "Artiste pour la Paix" par l'Organisation des Nations unies pour l'Education la Science et la Culture (Unesco), Amine Kouider est également directeur artistique du Choeur et Orchestre philharmonique international en résidence à l'Unesco. Crée en 1992, l'Orchestre symphonique national a été lancé en 1997 sous la direction du regretté maestro Abdelwahab Salim, disparu le 26 novembre 1999. Regroupant actuellement plus de 80 musiciens, l'OSN est dirigé depuis 2001 par le maestro Abdelkader Bouazzara.La cérémonie d'ouverture a été présidée par le secrétaire général, Rabah Hamdi, représentant de la ministre de la Culture Nadia Labidi, en présence des représentations diplomatiques des pays prenant part à cet évènement. Après une longue ovation nourrie et des youyous, le maestro Amine Kouider a fait son apparition devant une salle, comble.Le concert d'ouverture du festival, qui se poursuivra jusqu'au 19 septembre et auquel participent pas moins d'une vingtaine de pays, a comporté un programme riche et varié du répertoire G.Verd. Des extraits d'opéra ont été interprétés en parfaite fusion entre les musiciens algériens et étrangers, rehaussée par les voix de la soprano Catherine Mamandaza (Soprano), tels que :?'La Traviata (prelude acte 1'', 'La Traviata Estrano ?'Ah fors'e lui'', Aida ?'Ritorna vincitor'', un bal masqué- Acte 2 prélude (Scène-Air) Ecco Planni du Campo ma dall'arido stelo, IL Trovatore ?'tacea la notte placida'' Di tale Amor. L'ensemble des musiciens, brillants de technique et de dextérité, ont bien traduit leur professionnalisme académique, se livrant allégrement au gré des mélomanes dans une belle fusion de la parole et la mélodie qui n'a pas manqué de susciter la reconnaissance manifeste de l'assistance.Le public recueilli, relativement nombreux, a pu saisir des instants de pureté et voyager à travers un beau rêve durant lequel l'ensemble des musiciens et des choristes ont judicieusement élevé le patrimoine culturel algérien au rang de l'universalité. Déclarant officiellement ouverte la sixième édition du Festival culturel international de musique symphonique, le représentant de la ministre de la Culture, Nadia Labidi, en l'occurrence, Brahim Hamdi, a relevé dans une allocution que cet évènement musical est devenu « un rendez-vous culturel très attendu aussi bien par les professionnels de la musique que par un public fidèle et passionné ».« Ce festival est une occasion pour notre public de découvrir ou redécouvrir les grandes oeuvres de la musique symphonique mondiale grâce à la participation, aux côtés de l'orchestre symphonique national, des musiciens et ensembles venus de toutes les régions du monde et faisant de ce festival un lieu de dialogue, d'échanges et de rapprochement entre les nations et les peuples », at- il dit.Un sentiment d'accomplissement unanime largement ressenti, a été traduit par les deux orchestres, en fusion parfaite, interprétant savamment les plus grands chefsd'oeuvre de la musique classique universelle. Le commissaire du festival et directeur de l'OSN, Abdelkader Bouazzara, pour sa part, a présenté les invités de cette 6e édition et donné lecture au texte inaugurant officiellement, au nom de la ministre de la Culture, l'ouverture du festival.Les pays participants, au nombre de vingt sont: la Belgique invitée d'honneur, la Suisse, la Syrie, Egypte, Tunisie, l'Espagne, la Russie, la Finlande, la Pologne, le Mexique, l'Ukraine, l'Italie, la France, la Chine, l'Allemagne, le Japon, l'Autriche, et la Suède. Abdelkader Bouazara a tenu à souhaiter la bienvenue aux invités de l'Algérie tout en précisant que ce festival est un grand rassemblement de musiciens professionnels de renommée mondiale. Né en 1967 à Alger, Amine Kouider a dirigé plusieurs grands orchestres de par le monde, dont l'Orchestre du Kirkov de l'Opéra de Saint-Pétersbourg, l'Orchestre international de Paris (France- de 1998 à 2004) et l'Orchestre philharmonique du Qatar (2010).Nommé, entre autres, "Artiste pour la Paix" par l'Organisation des Nations unies pour l'Education la Science et la Culture (Unesco), Amine Kouider est également directeur artistique du Choeur et Orchestre philharmonique international en résidence à l'Unesco. Crée en 1992, l'Orchestre symphonique national a été lancé en 1997 sous la direction du regretté maestro Abdelwahab Salim, disparu le 26 novembre 1999. Regroupant actuellement plus de 80 musiciens, l'OSN est dirigé depuis 2001 par le maestro Abdelkader Bouazzara.




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