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Une étude pour déterminer les causes des infiltrations d'eau



Une étude pour déterminer les causes des infiltrations d'eau
Une étude pour analyser les raisons de la présence d'eaux souterraines, constatée depuis un mois près du pylône numéro 4 du viaduc trans-Rhumel en construction à Constantine, "vient d'être lancée" a appris l'APS mercredi auprès de la direction des travaux publics.Une étude pour analyser les raisons de la présence d'eaux souterraines, constatée depuis un mois près du pylône numéro 4 du viaduc trans-Rhumel en construction à Constantine, "vient d'être lancée" a appris l'APS mercredi auprès de la direction des travaux publics.Les experts du bureau d'études danois spécialisé en ingénierie, chargé de cette étude "pointue" détermineront les "mesures à mettre en ?uvre pour remédier à cette situation et détailleront le mode d'intervention" a précisé la même source.Affirmant que ce phénomène "pourrait survenir dans tous les chantiers de construction d'ouvrages d'art dans le monde", les services de la DTP ont indiqué qu'un rapport devra être remis au maître d'ouvrage (la DTP) "dans une quinzaine de jours".Situé sur la rive droite du Rhumel dans la région appelée Djenane Tchina, le pylône en question, réalisé depuis des mois, présentait, selon un ingénieur, "des anomalies caractérisées par la présence d'une quantité non négligeable d'eau, provoquant un affaissement de toute la zone"."Des forages ont été entreprises sur le site et des quantités de béton ont été injectées", a souligné la même source à l'APS, dans l'optique de "consolider le pylône" mais le résultat imposait "une étude plus approfondie par des spécialistes hautement qualifiés dans le domaine".Confié en réalisation au groupement brésilien Andrade-Gutierrez, le trans-Rhumel, huitième pont de la ville du Rocher, est réalisé selon la technique des haubans, avec des câbles obliques partant d'un pylône supportant le tablier lequel supportera, à son tour, tout le poids de l'ouvrage.Considéré comme "un défi architectural" et une "prouesse d'ingénierie", le viaduc, réalisé en double voie, est d'une longueur de 1.150 mètres. Sa traversée débute depuis la place de l'Onu, non loin ducentre-ville pour relier le plateau du Mansourah, desservent pratiquement toute la partie sud de la ville.Destiné à contribuer d'alléger le problème complexe lié à la congestion du trafic routier du centre-ville, cet ouvrage d'envergure a nécessité un investissement de 15 milliards de dinars. Son ouverture à la circulation automobile devait avoir lieu le 16 avril prochain.Des jonctions entre le viaduc et l'autoroute Est-Ouest à partir de la cité Ziadia (où s'achèvera le tracé du trans-Rhumel) jusqu'à Djebel Ouahch, et à l'autoroute vers l'aéroport international Mohamed-Boudiaf sont également programmées.Les experts du bureau d'études danois spécialisé en ingénierie, chargé de cette étude "pointue" détermineront les "mesures à mettre en ?uvre pour remédier à cette situation et détailleront le mode d'intervention" a précisé la même source.Affirmant que ce phénomène "pourrait survenir dans tous les chantiers de construction d'ouvrages d'art dans le monde", les services de la DTP ont indiqué qu'un rapport devra être remis au maître d'ouvrage (la DTP) "dans une quinzaine de jours".Situé sur la rive droite du Rhumel dans la région appelée Djenane Tchina, le pylône en question, réalisé depuis des mois, présentait, selon un ingénieur, "des anomalies caractérisées par la présence d'une quantité non négligeable d'eau, provoquant un affaissement de toute la zone"."Des forages ont été entreprises sur le site et des quantités de béton ont été injectées", a souligné la même source à l'APS, dans l'optique de "consolider le pylône" mais le résultat imposait "une étude plus approfondie par des spécialistes hautement qualifiés dans le domaine".Confié en réalisation au groupement brésilien Andrade-Gutierrez, le trans-Rhumel, huitième pont de la ville du Rocher, est réalisé selon la technique des haubans, avec des câbles obliques partant d'un pylône supportant le tablier lequel supportera, à son tour, tout le poids de l'ouvrage.Considéré comme "un défi architectural" et une "prouesse d'ingénierie", le viaduc, réalisé en double voie, est d'une longueur de 1.150 mètres. Sa traversée débute depuis la place de l'Onu, non loin ducentre-ville pour relier le plateau du Mansourah, desservent pratiquement toute la partie sud de la ville.Destiné à contribuer d'alléger le problème complexe lié à la congestion du trafic routier du centre-ville, cet ouvrage d'envergure a nécessité un investissement de 15 milliards de dinars. Son ouverture à la circulation automobile devait avoir lieu le 16 avril prochain.Des jonctions entre le viaduc et l'autoroute Est-Ouest à partir de la cité Ziadia (où s'achèvera le tracé du trans-Rhumel) jusqu'à Djebel Ouahch, et à l'autoroute vers l'aéroport international Mohamed-Boudiaf sont également programmées.


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